Les applications polyvalentes de la robotique molle à usage général captent l’attention au CES

LAS VEGAS, 10 janv. 2025 (GLOBE NEWSWIRE) — La robotique est restée l’un des moments forts du dernier CES. Au–delà des robots humanoïdes et des robots domestiques courants, Wisson Robotics, une société d’innovation chinoise, a présenté les derniers produits et technologies de robotique molle universelle au monde.

Sur le stand de Wisson Robotics, une série de drones et de stations de recharge pour véhicules électriques équipés de robotique molle effectuaient des démonstrations en direct, attirant une foule de spectateurs. Ces technologies robotiques et leurs applications innovantes ont suscité une attention et des demandes de renseignement considérables de la part des visiteurs. Selon le personnel, ces robots de recharge aériens et automatisés sont développés sur la base de la technologie flexible Pliabot®. Ils ont servi des clients dans plus de 100 pays, régions et villes, avec de nombreuses applications dans divers secteurs, telles que le nettoyage à haute altitude, la recharge intelligente, la maintenance énergétique, le sauvetage d’urgence et la protection de l’environnement.

Par exemple, le système de nettoyage aérien captif Pliabot® Orion AP3–P3, alimenté par un cardan flexible, peut atteindre un équilibre auto–adaptatif, un amortissement flexible des collisions et un réglage multi–angle, offrant ainsi une polyvalence inégalée en matière de sécurité et des capacités opérationnelles de proximité. Il convient au nettoyage des murs extérieurs des bâtiments, tours et autres structures de haute altitude, améliorant considérablement l’efficacité des opérations manuelles traditionnelles tout en garantissant la sécurité des opérateurs.

Le système de manipulation aérien Pliabot® AP30–N1, équipé d’un bras souple longue portée, peut pivoter sous plusieurs angles, est léger, offre une capacité de charge élevée et garantit une interaction sûre. Il permet une saisie, un placement et un échantillonnage aériens minutieux, conférant aux drones traditionnels une grande précision et une réelle adaptabilité environnementale pour répondre aux exigences diverses et à haut risque en matière d’opérations aériennes.

Le robot de recharge automatique Pliabot® Monos CF1, basé sur la nouvelle génération de technologie musculaire bionique souple, simule entièrement les mouvements et les caractéristiques interactives des bras humains, permettant une sécurité d’interaction semblable à celle de l’homme et offrant des avantages révolutionnaires en termes de coût. Il convient à un déploiement commercial à grande échelle, donnant un nouvel élan à l’amélioration des expériences de conduite intelligente et au développement de l’industrie des véhicules à énergies nouvelles.

Source : Wisson International Limited

Une photo accompagnant ce communiqué est disponible à l’adresse suivante : https://www.globenewswire.com/NewsRoom/AttachmentNg/9d7c89c9–7a7f–47fe–8c48–da18adbcdbf4


GLOBENEWSWIRE (Distribution ID 9329824)

Les applications polyvalentes de la robotique molle à usage général captent l’attention au CES

LAS VEGAS, 10 janv. 2025 (GLOBE NEWSWIRE) — La robotique est restée l’un des moments forts du dernier CES. Au–delà des robots humanoïdes et des robots domestiques courants, Wisson Robotics, une société d’innovation chinoise, a présenté les derniers produits et technologies de robotique molle universelle au monde.

Sur le stand de Wisson Robotics, une série de drones et de stations de recharge pour véhicules électriques équipés de robotique molle effectuaient des démonstrations en direct, attirant une foule de spectateurs. Ces technologies robotiques et leurs applications innovantes ont suscité une attention et des demandes de renseignement considérables de la part des visiteurs. Selon le personnel, ces robots de recharge aériens et automatisés sont développés sur la base de la technologie flexible Pliabot®. Ils ont servi des clients dans plus de 100 pays, régions et villes, avec de nombreuses applications dans divers secteurs, telles que le nettoyage à haute altitude, la recharge intelligente, la maintenance énergétique, le sauvetage d’urgence et la protection de l’environnement.

Par exemple, le système de nettoyage aérien captif Pliabot® Orion AP3–P3, alimenté par un cardan flexible, peut atteindre un équilibre auto–adaptatif, un amortissement flexible des collisions et un réglage multi–angle, offrant ainsi une polyvalence inégalée en matière de sécurité et des capacités opérationnelles de proximité. Il convient au nettoyage des murs extérieurs des bâtiments, tours et autres structures de haute altitude, améliorant considérablement l’efficacité des opérations manuelles traditionnelles tout en garantissant la sécurité des opérateurs.

Le système de manipulation aérien Pliabot® AP30–N1, équipé d’un bras souple longue portée, peut pivoter sous plusieurs angles, est léger, offre une capacité de charge élevée et garantit une interaction sûre. Il permet une saisie, un placement et un échantillonnage aériens minutieux, conférant aux drones traditionnels une grande précision et une réelle adaptabilité environnementale pour répondre aux exigences diverses et à haut risque en matière d’opérations aériennes.

Le robot de recharge automatique Pliabot® Monos CF1, basé sur la nouvelle génération de technologie musculaire bionique souple, simule entièrement les mouvements et les caractéristiques interactives des bras humains, permettant une sécurité d’interaction semblable à celle de l’homme et offrant des avantages révolutionnaires en termes de coût. Il convient à un déploiement commercial à grande échelle, donnant un nouvel élan à l’amélioration des expériences de conduite intelligente et au développement de l’industrie des véhicules à énergies nouvelles.

Source : Wisson International Limited

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GLOBENEWSWIRE (Distribution ID 9329824)

General-purpose Soft Robotics Captures Attention at CES with Versatile Applications

LAS VEGAS, Jan. 10, 2025 (GLOBE NEWSWIRE) — Robotics continued to be a major highlight at this year's CES. Beyond the common humanoid and household service robots, Wisson Robotics, a Chinese innovation company, showcased the world's latest universal soft robotics technology and products.

At the Wisson Robotics booth, a series of drones and electric vehicle charging stations equipped with soft robotics were conducting live demonstrations, attracting a large crowd of onlookers. These innovative robotic forms and application scenarios have garnered significant attention and inquiries from visitors. According to the staff, these aerial and automated charging robots are developed based on the Pliabot® flexible technology and have served customers in over 100 countries, regions, and cities, with extensive applications in various industries such as high–altitude cleaning, intelligent charging, energy maintenance, emergency rescue, and environmental protection.

For instance, the Orion AP3–P3 Pliabot® Aerial Tethered Cleaning System, powered by a flexible gimbal, can achieve self–adaptive balance, flexible collision buffering, and multi–angle adjustment, providing unparalleled all–round safety and close–proximity operation capabilities. It is suitable for cleaning the exterior walls of buildings, towers, and other high–altitude structures, significantly improving the efficiency of traditional manual operations while ensuring the safety of operators.

The AP30–N1 Aerial Pliabot® Manipulator System, equipped with a flexible arm that can extend over a large range and flexibly rotate at multiple angles, is lightweight, has a high load capacity, and ensures safe interaction. It enables precise aerial grasping, placement, and sampling, endowing traditional drones with precise operation capabilities and environmental adaptability to meet diverse and high–risk aerial operation requirements.

The Monos CF1 Pliabot® Automatic Charging Robot, based on the new generation of flexible bionic muscle technology, fully simulates the flexible movements and interactive characteristics of human arms, enabling human–like interaction safety and offering disruptive cost advantages. It is suitable for large–scale commercial deployment, providing new impetus for the upgrade of intelligent driving experiences and the development of the new energy vehicle industry.

Source: Wisson International Limited

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GLOBENEWSWIRE (Distribution ID 9329790)

Synchronoss Technologies to Present at Upcoming Investor Conferences

BRIDGEWATER, N.J., Jan. 07, 2025 (GLOBE NEWSWIRE) — Synchronoss Technologies Inc. (“Synchronoss” or the “Company”) (Nasdaq: SNCR), a global leader and innovator in Personal Cloud platforms, today announced that Jeff Miller, President and CEO, and Louis Ferraro, CFO, will participate at two upcoming investor conferences.

  • ICR Conference on January 13, 2025. The presentation will begin at 11:00 AM ET and the webcast link will be available on the Synchronoss Investor Relations website here, or directly here.
  • Needham Growth Conference on January 16, 2025. To register for one–on–one meetings with management, please contact a Needham sales representative.

About Synchronoss
Synchronoss Technologies (Nasdaq: SNCR), a global leader in personal Cloud solutions, empowers service providers to establish secure and meaningful connections with their subscribers. Our SaaS Cloud platform simplifies onboarding processes and fosters subscriber engagement, resulting in enhanced revenue streams, reduced expenses, and faster time–to–market. Millions of subscribers trust Synchronoss to safeguard their most cherished memories and important digital content. Explore how our Cloud–focused solutions redefine the way you connect with your digital world at www.synchronoss.com.

Media Relations Contact:
Domenick Cilea
Springboard
dcilea@springboardpr.com

Investor Relations Contact:
Ryan Gardella
ICR for Synchronoss
SNCRIR@icrinc.com


GLOBENEWSWIRE (Distribution ID 9328105)

Les robots souples aériens de Wisson Robotics font leurs débuts au CES 2025 : sécurité, efficacité et polyvalence optimales pour des opérations aériennes de précision

HONG KONG, 07 janv. 2025 (GLOBE NEWSWIRE) — Wisson Robotics, pionnier mondial de la robotique souple polyvalente, présentera ses robots souples aériens innovants lors du CES 2025, notamment l’AP3–P3 destiné au nettoyage des façades, le manipulateur aérien polyvalent AP30–N1 doté du bras Pliabot® de Wisson, entre autres. Ces innovations améliorent considérablement les fonctionnalités de précision basées sur le contact des drones pour les opérations aériennes. Rendez–vous sur le stand de Wisson, n° 8262, dans la section Smart Cities, située dans le hall nord du LVCC.

Ces dernières années, les drones ont été largement utilisés pour la photographie, l’arpentage et la livraison. Cependant, les industries recherchent désormais des fonctionnalités plus avancées, en particulier celles basées sur le contact pour un impact substantiel sur les objets. Pour ce faire, l’équipement doit être hautement adaptable, capable de fonctionner de manière stable malgré les reculs ou les oscillations dans un environnement en constante évolution. Pour répondre à ces besoins, Wisson Robotics a intégré sa technologie exclusive Pliabot® dans des drones, pour aboutir à la gamme « Orion » de robots souples aériens.

La gamme Orion comprend les séries N, P, G et D, offrant diverses fonctionnalités basées sur le contact, telles que la saisie aérienne, le transfert, le placement, la pulvérisation, le nettoyage et la détection basée sur le contact. Tout en conservant la mobilité inhérente aux drones, l’intégration de la technologie Pliabot® permet d’effectuer des opérations de précision en vol stationnaire et en vol. Ces fonctionnalités ouvrent de nouveaux horizons à des secteurs tels que le nettoyage de façades en haute altitude, la maintenance des énergies renouvelables, les secours d’urgence et la protection de l’environnement.

Le système captif de nettoyage aérien Orion AP3–P3 Pliabot® est idéal pour le nettoyage des façades de bâtiments et l’entretien des tours. Il améliore considérablement l’efficacité opérationnelle, remplaçant les travailleurs traditionnels en haute altitude et réduisant efficacement les risques. Par rapport aux drones de nettoyage conventionnels, l’AP3–P3, qui ne pèse que 1,3 kg, est équipé d’une pompe à haute pression. Doté d’un cardan Pliabot® permettant d’effectuer des réglages multi–angles, il peut facilement accéder à des zones telles que les avant–toits et les rebords de fenêtres. Avec la technologie Pliabot®, l’AP3–P3 réduit efficacement l’impact des reculs et oscillations grâce à un équilibre adaptatif. Il facilite également les interactions flexibles avec les cibles opérationnelles, réduisant les risques de collision et garantissant la stabilité des tâches aériennes.

La gamme Orion est largement utilisée et reconnue par les clients. Elle leur permet d’améliorer de manière significative l’efficacité, la sécurité et l’expérience globale des opérations. À ce jour, les robots Pliabot® de Wisson ont été déployés dans plus de 100 localités à travers le monde, couvrant divers secteurs comme le nettoyage de façades, la conduite autonome, les énergies nouvelles, la logistique, l’urbanisme, les services maritimes et les réseaux électriques.

Une photo annexée au présent communiqué est disponible à l’adresse suivante :
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GLOBENEWSWIRE (Distribution ID 9327616)

Wisson Robotics' Aerial Soft Robots Debut at CES 2025: Aerial Precision Operations with Ultimate Safety, Efficiency and Versatility

HONG KONG, Jan. 05, 2025 (GLOBE NEWSWIRE) — Wisson Robotics, a global pioneer in general–purpose soft robotics, will showcase its innovative aerial soft robots at CES 2025, including the AP3–P3 for facade cleaning, the versatile AP30–N1 aerial manipulator featuring Wisson's Pliabot® arm among others. These innovations greatly advance drones' contact–based precision capabilities for aerial operations. Visit Wisson at Booth #8262, Smart Cities, North Hall of LVCC.

In recent years, drones have been widely used in photography, surveying, and delivery. However, industries now seek more advanced capabilities, especially the contact–based ones for substantial impact on objects. This requires the equipment to be highly adaptable to deliver the capabilities while functioning steadily under recoil or sway in the ever–changing environment. Addressing these needs, Wisson Robotics has integrated its proprietary Pliabot® Technology into drones, culminating in the “Orion” series of aerial soft robots.

The Orion series comprises the N, P, G, and D series, offering diverse contact–based capabilities like aerial grasping, transferring, placing, spraying, cleaning, and contact–based detection. While retaining drones' inherent mobility, the integration of Pliabot® technology enables precision operations during both hover and flight. These capabilities open new horizons for industries like high–altitude facade cleaning, renewable energy maintenance, emergency rescue, environmental protection.

The Orion AP3–P3 Pliabot® Aerial Tethered Cleaning System is ideal for building facade cleaning and tower maintenance. It significantly enhances operational efficiency, replacing traditional high–altitude workers and effectively mitigating risks. Compared to conventional cleaning drones, AP3–P3 weighs only 1.3 kg while features a high–pressure pump. With a Pliabot® gimbal for multi–angle adjustments, it can easily access areas like eaves and windowsills. Leveraging Pliabot® Technology, AP3–P3 can effectively minimize impact from recoil or sway with adaptive balance. It also facilitates flexible interactions with operational targets, minimizing collision risks and ensuring stability and safety in aerial tasks.

The Orion series have been widely used and well recognized by clients, helping them significantly improve operation efficiency, safety and overall experience. So far, Wisson's Pliabot® robots have been developed and deployed to 100+ countries, regions and cities, serving industries like facade cleaning, autonomous driving, new energy, logistics, urban management, marine services and power grids.

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GLOBENEWSWIRE (Distribution ID 9326725)

Des combustibles fossiles vers un avenir vert : Oxford et EBC Financial Group expliquent ce qui nous retient d’agir

OXFORD, Royaume–Uni, 09 déc. 2024 (GLOBE NEWSWIRE) — Dans un monde progressivement façonné par la double crise que nous vivons actuellement, celle du changement climatique et celle de l’instabilité économique, le Département d’économie d’Oxford, en collaboration avec EBC Financial Group (EBC), a organisé une session charnière dans le cadre de la série « What Economists Really Do? » (Ce que font réellement les économistes, WERD). L’événement a rassemblé d’éminentes figures du monde universitaire et de la finance afin d’explorer des stratégies concrètes visant à aligner les systèmes économiques en matière de durabilité environnementale, tout en répondant aux préoccupations urgentes sur le plan sociétal.

L’événement, intitulé « Macroeconomics and Climate » (Macroéconomie et climat), a été inauguré par une conférence menée par le professeur agrégé Andrea Chiavari, et par une réunion–débat intitulée « Sustaining Sustainability: Balancing Economic Growth and Climate Resilience » (Soutenir la durabilité : équilibrer la croissance économique et la résilience climatique), modérée par la professeure agrégée Banu Demir Pakel. Parmi les intervenants, on peut citer la Dre Nicola Ranger, directrice du Global Finance Group de l’Environmental Change Institute et chercheuse principale à Oxford, et David Barrett, PDG d’EBC Financial Group (UK) Ltd. Ensemble, ils ont décortiqué l’intersectionnalité entre politique, finance et impact humain, et ont proposé des perspectives et recommandations pratiques allant au–delà du discours théorique.

De gauche à droite : la Dre Nicola Ranger (directrice du Global Finance Group de l’Environmental Change Institute et chercheuse principale), le professeur agrégé Andrea Chiavari (Département d’Économie), David Barrett (PDG d’EBC Financial Group [UK] Ltd) , et la professeure agrégée Banu Demir Pakel (Département d’Économie)

EBC Financial Group : encourager le trading responsable et l’innovation durable
EBC Financial Group, dont la présence sur les marchés financiers mondiaux ne cesse de croître, offre à ses clients du monde entier des opportunités de trading dans les domaines des opérations de change, des matières premières, les indices et bien plus encore, grâce à ses solutions de courtage exhaustives. EBC, qui opère auprès des principaux centres financiers et marchés émergents, dote les traders d’outils innovants et favorise la collaboration afin de relever les défis en constante évolution liés à la finance mondiale. En tant que partenaire officiel des marchés des changes du FC Barcelone et partenaire de la campagne United to Beat Malaria des Nations Unies, EBC s’engage pour un avenir défini par la durabilité, l’équité et les pratiques commerciales responsables.

La participation d’EBC à la série WERD reflète l’urgence croissante de créer un pont entre les marchés financiers et le monde de la recherche universitaire afin de relever les défis climatiques et économiques. En participant à une conversation commune visant à trouver des stratégies concrètes, EBC a rejoint une communauté de leaders d’opinion pour mettre en évidence les étapes pratiques à mettre en œuvre pour aligner les systèmes financiers en matière d’objectifs de développement durable.

Pouvons–nous poursuivre la croissance économique et sauver la planète ?
Au cœur des discussions, on s’est notamment accordé sur le fait que la sécurité financière et la sécurité environnementale constituent des préoccupations que chacun partage sur le plan universel. Le Dr Chiavari a prononcé un discours d’ouverture évocateur à propos des coûts économiques liés au changement climatique. Il a illustré la croissance spectaculaire du PIB mondial depuis la révolution industrielle et a mis cela en corrélation avec les conséquences environnementales de la consommation de combustibles fossiles et de l’augmentation des émissions de CO2. Le Dr Chiavari a souligné l’importance fondamentale du coût social du carbone dans l’élaboration de politiques efficaces.

Son message portait principalement sur le concept de coût social du carbone, qui quantifie les coûts des émissions sur le plan sociétal à plus large échelle. « Les taxes carbone ne sont pas uniquement nécessaires sur le plan environnemental, mais aussi sur le plan économique », a–t–il affirmé. Le Dr Chiavari a expliqué comment de telles mesures devraient générer les incitations économiques nécessaires pour encourager les entreprises et les particuliers à faire des choix durables. « Réfléchissez bien, » a–t–il ajouté. « Quand vous allumez le radiateur, l’avantage pour vous reste le même : vous réchauffez la pièce. En revanche, le coût est désormais beaucoup plus élevé qu’avant. »

Pour développer ce point, le Dr Chiavari a souligné que les taxes carbone sont conçues pour cibler les émissions de carbone plutôt que la consommation d’énergie en elle–même. « Les taxes carbone sont un impôt sur le carbone, pas sur l’énergie, » a–t–il expliqué. « Par conséquent, cela crée d’énormes incitations pour que le secteur privé, pour que les individus comme vous et moi, passent de la consommation de combustibles fossiles à des sources d’énergie alternatives. Il n’est pas seulement question de réduire l’énergie ou la production ; il s’agit de créer d’énormes incitations pour se tourner vers des sources d’énergie alternatives. »

En partant de ce postulat, la réunion–débat modérée par la Dre Banu Demir Pakel, s’est penchée plus en détail sur les aspects pratiques que supposerait l’alignement de la croissance économique sur la résilience climatique.

Construire un pont entre politique, finance et mesures à travers un débat avec différents points de vue
La réunion–débat s’est penchée sur les interactions complexes entre la croissance économique et la résilience climatique. Chaque intervenant a apporté son expertise propre à la conversation, et de nouvelles perspectives sur la manière dont les systèmes mondiaux peuvent s’adapter à ce double impératif.

Le Dr Chiavari a insisté sur l’aspect mondial de la lutte contre le changement climatique. Il a notamment souligné le fait que les émissions transcendent les frontières et nécessitent une réponse internationale coordonnée. Il a évoqué les risques de fuite de carbone, dans les cas où des politiques climatiques strictes au sein d’un pays pourraient conduire à un déplacement des émissions vers des régions aux réglementations plus laxistes, ce qui compromettrait les progrès réalisés à l’échelle mondiale. Pour atténuer ce problème, le Dr Chiavari a plaidé en faveur de politiques encourageant la collaboration et l’innovation sur le plan international, afin de s’assurer que les transitions vers des pratiques durables sont à la fois équitables, et globales.

La Dre Ranger a mis l’accent sur les opportunités économiques susceptibles d’émerger de la prise de mesures climatiques, et a déclaré : « Il ne s’agit pas seulement de coûts, mais aussi d’opportunités. » La Dre Ranger a également souligné l’importance de revoir le discours public, en précisant que la lutte contre les risques climatiques avait le potentiel d’être associée à la création d’emplois et à la stimulation de la croissance économique. Elle a insisté sur le fait qu’une action climatique efficace pouvait favoriser l’innovation et le progrès, sans pour autant représenter une charge financière importante. Elle se positionne également en faveur de réorienter les subventions aux combustibles fossiles et autres subventions qui nuisent à l’environnement, et qui représentent, à l’échelle mondiale jusqu’à 7 000 milliards de dollars par an, vers des investissements verts, comme les énergies renouvelables.

Fort de son expérience approfondie des marchés financiers, Barrett a souligné l’importance d’aligner les mesures d’incitations fondées sur les lois du marché sur les objectifs en matière de développement durable. Il a offert une évaluation honnête des défis qui se présentent dans ce secteur au moment de faire le choix de la durabilité, et a mis l’accent sur le fait que les institutions financières sont motivées par le profit : « Les marchés financiers sont mus par le besoin de faire du chiffre, que ce soit pour ses actionnaires ou ses investisseurs. » Barrett a insisté sur le fait que les gouvernements devaient impérativement créer des cadres réglementaires applicables. Il a précisé que l’alignement était indispensable pour canaliser l’influence du secteur et ainsi entraîner une action climatique significative.

Au sujet des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (Environmental, Social, and Governance, ou ESG), Barrett a exprimé ses inquiétudes quant à leur mise en œuvre actuelle, déclarant que « les critères ESG ressemblent désormais davantage à un exercice de cases à cocher ». Il a appelé à mettre en œuvre des politiques plus fortes qui garantissent la responsabilisation des acteurs et génèrent un impact mesurable, et ne se contentent pas uniquement de respecter des normes superficielles.

Au moment d’évoquer les « clubs climat », Barrett a mis en avant les risques liés à la fragmentation des efforts mondiaux. « Pour que ces initiatives soient fructueuses, tous les acteurs principaux doivent être inclus, » a–t–il signalé. « Sans cela, les réductions d’émissions réalisées dans certaines régions pourraient être neutralisées par une augmentation des émissions à d’autres endroits. » Il a précisé que cela pourrait compromettre les progrès collectifs nécessaires pour relever les défis climatiques.

Quelles mesures pratiques les gouvernements, entreprises et particuliers doivent–ils prendre pour bâtir un avenir économique durable qui semblerait réalisable et sûr pour chacun ?

La modératrice et les participants au débat ont été interrogés séparément afin d’approfondir cette question cruciale. Ils ont eu l’occasion d’apporter leurs différents points de vue quant aux rôles collaboratifs que les gouvernements, entreprises et particuliers pourraient jouer afin de relever les défis climatiques.

Le rôle des gouvernements : politiques et planification
La Dre Demir Pakel a souligné l’importance de l’éducation et de la prise de conscience dans la lutte contre le changement climatique. Elle a particulièrement insisté sur le rôle des gouvernements pour stimuler le changement. « Le rôle des gouvernements est de commencer par encourager une plus grande prise de conscience », a–t–elle expliqué, notant la nécessité d’une éducation précoce quant aux conséquences du changement climatique. Elle a souligné le besoin de politiques qui favorisent non seulement le secteur privé, mais guident également les comportements des consommateurs. « Nous parlons d’un réseau complexe dans lequel les gouvernements ont la responsabilité majeure de planifier et de guider l’action à tous les niveaux, » a–t–elle indiqué.

« Le secteur privé a besoin d’incitations pour agir, car il aura assurément une vision à plus court terme que le gouvernement. C’est donc les comportements qui doivent changer, et le gouvernement a ici un autre rôle à jouer : mettre en œuvre des politiques visant à changer les comportements du secteur privé et des consommateurs », a–t–elle ajouté.

Mesures d’incitation fondées sur les lois du marché et taxes carbone
Le Dr Chiavari a insisté sur la nécessité d’interventions gouvernementales, notamment via les taxes carbone, afin de corriger les défaillances du marché. Selon lui, en intégrant le coût sociétal associé des émissions aux prix de l’énergie, les gouvernements peuvent encourager des décisions de consommation et d’investissement plus responsables.

Changer le discours : une transition positive
La Dre Ranger est revenue sur les défis actuels en matière d’action climatique, rappelant qu’une partie importante du problème réside dans la prise de conscience. « Il y a actuellement quelque chose qui ne va pas, et je pense que cela est lié en grande partie au problème de la prise de conscience », a–t–elle déclaré. « Les gouvernements jouent un rôle, mais ils agissent fondamentalement sur les points en fonction desquels les citoyens votent. L’absence de prise de conscience quant aux avantages immédiats que représenterait une transition énergétique verte, notamment en matière de sécurité énergétique et de santé publique, constitue actuellement un problème majeur. »

Ranger s’est élevée contre le fait que le discours autour du changement climatique ces dernières années a échoué, en présentant cette initiative comme un défi coûteux et fastidieux. « Le discours tourne essentiellement autour du fait qu’il va falloir beaucoup d’argent pour gérer tout cela. Je m’oppose à ce point de vue, et les preuves dont nous disposons ne permettent d’ailleurs pas de l’étayer. Il va de soi que nous devons prendre des décisions difficiles, mais nous savons aussi qu’à l’heure actuelle, c’est notre façon d’aborder la question qui complique les choses. Plus particulièrement, le manque de certitude de la part du gouvernement quant à ses politiques bloque les investissements et augmente les coûts. Toutes les données montrent qu’en mettant en place les politiques adéquates et en fixant un cap clair pour les investisseurs, une transition équitable constitue à la fois la voie la moins coûteuse mais aussi la plus bénéfique », a–t–elle déclaré.

Elle a insisté sur le fait que rediriger les subventions aux combustibles fossiles pourrait servir de catalyseur pour une transition positive. « À l’échelle mondiale, nous injectons des sommes d’argent colossales dans les subventions aux combustibles fossiles ; les estimations varient d’ailleurs entre cinq et sept mille milliards de dollars par an. Si on y mettait un terme et que l’on investissait cet argent dans les technologies propres, le problème serait déjà résolu. »

Pour répondre à ce problème, Ranger a appelé à un changement dans le discours public afin de mettre l’accent sur les opportunités économiques inhérentes à l’action climatique. Elle a insisté sur le rôle du monde universitaire et des experts dans la transformation du discours, et a déclaré : « Nous devons nous assurer que les gens comprennent qu’il s’agit d’une transition positive. Grâce à une bonne politique gouvernementale, l’impact sur les particuliers sera minime, et pourrait en réalité contribuer à la croissance de l’emploi et à l’innovation. »

Ranger a conclu en exhortant les gouvernements à prendre l’initiative de transformer ce discours : « Ce que j’aimerais vraiment, c’est que les gouvernements soutiennent cette initiative et disent : ‘Écoutez, voilà ce qui va se passer, et ça vous sera favorable. C’est la marche à suivre, et c’est nécessaire à la fois pour les investisseurs et pour le grand public’. »

Le rôle des entreprises et des particuliers : prise de responsabilité et innovation
Barrett a donné un point de vue honnête sur le rôle des entreprises et des particuliers dans l’action climatique. Il a insisté sur le fait que le secteur de la finance est par nature tourné vers le profit, et a prévenu qu’il n’entreprendrait pas des efforts de développement durable en l’absence de cadres réglementaires clairs. « Les marchés financiers n’entameront pas cette démarche seuls. Il faut les inciter à agir, » a–t–il déclaré. « Une fois que le secteur de la finance s’oriente sur un cap particulier et qu’un thème le motive particulièrement, il a la capacité d’accomplir des choses incroyables, mais pour y parvenir, une politique et des incitations claires sont nécessaires. »

Barrett a également évoqué le rôle des particuliers en tant qu’électeurs et consommateurs, insistant sur le fait que leurs choix peuvent influencer de manière significative les politiques et le comportement des entreprises. « Les politiques doivent faire bien mieux pour apprendre aux électeurs les objectifs qu’elles souhaitent atteindre, et la façon dont ils peuvent être atteints », a–t–il indiqué. En donnant la priorité aux pratiques durables et en tenant les décideurs politiques pour responsables, les particuliers peuvent entraîner un changement systémique.

Malgré ses critiques envers les mesures superficielles comme les critères ESG qu’il qualifie de « cases à cocher », Barrett a démontré qu’il conservait une vision optimiste quant au potentiel du secteur de la finance. « Le secteur de la finance peut se montrer incroyablement innovant », nous a–t–il confié. « Il peut déplacer des montagnes et résoudre de vrais problèmes, mais pour cela, des incitations adéquates et de conversations honnêtes sur les enjeux sont nécessaires. » Il a appelé au changement, en laissant derrière nous les cycles politiques à court terme au profit de stratégies tournées vers l’avenir, et exhorté tous les acteurs impliqués à s’engager dans les efforts à long terme nécessaires pour faire face efficacement à la crise climatique.

Pour regarder la session complète de l’épisode « Macroeconomics and Climate » (Macroéconomie et climat) du WERD, notamment discours d’ouverture et la réunion–débat, rendez–vous sur : https://youtu.be/MD5vaMjQdkc.

À propos d’EBC Financial Group
Fondé dans le prestigieux quartier financier de Londres, EBC Financial Group (« EBC ») est réputé pour sa gamme complète de services qui comprend le courtage financier, la gestion d’actifs et des solutions d’investissement globales. EBC Financial Group a rapidement établi sa position en tant que société de courtage d’envergure mondiale, avec une forte présence sur des hubs financiers majeurs tels que Londres, Hong Kong, Tokyo, Singapour, Sydney, les Îles Caïmans ainsi que sur les marchés émergents d’Amérique latine, d’Asie du Sud–Est, d’Afrique et d’Inde. EBC s’adresse à une clientèle diversifiée d’investisseurs de détail, professionnels et institutionnels aux quatre coins du monde.

Reconnu par de multiples récompenses, EBC est fier de respecter les plus hauts niveaux de normes éthiques et de réglementation internationale. Les filiales d’EBC Financial Group sont réglementées et agréées dans leurs juridictions locales. EBC Financial Group (UK) Limited est réglementé par la Financial Conduct Authority (« FCA ») du Royaume–Uni, EBC Financial Group (Cayman) Limited est réglementé par la Monetary Authority (« CIMA ») des Îles Caïmans, et EBC Financial Group (Australia) Pty Ltd et EBC Asset Management Pty Ltd sont réglementés par la Securities and Investments Commission (« ASIC ») australienne.

Au cœur d’EBC Group sont réunis des professionnels chevronnés, forts de plus de 30 ans d’expérience marquée dans des institutions financières majeures, ayant habilement traversé des cycles économiques majeurs, des accords du Plaza à la crise du franc suisse de 2015. EBC défend une culture où l’intégrité, le respect et la sécurité des actifs de ses clients priment et veille à ce que chaque engagement d’investisseur soit traité avec tout le sérieux qu’il mérite.

EBC est Partenaire officiel des marchés des changes du FC Barcelone, et propose des services spécialisés en Asie, Afrique, Amérique latine, Océanie et au Moyen–Orient. EBC est également partenaire de United to Beat Malaria, une campagne de la Fondation pour les Nations unies dont l’objectif est d’améliorer les résultats en matière de santé mondiale. Depuis février 2024, EBC accompagne la série d’engagement public « What Economists Really Do » du Département d’Économie de l’Université d’Oxford, visant à démystifier l’économie et son application aux grands défis de société afin d’améliorer la compréhension et le dialogue avec le public.

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À propos du Département d’Économie
Le Département d’Économie d’Oxford est un centre d’excellence mondialement reconnu, qui abrite l’une des plus grandes communautés d’économistes universitaires au monde. Réputé pour la grande portée et la diversité de ses recherches, qui influencent considérablement les politiques, le Département est également reconnu pour sa communauté dynamique de jeunes chercheurs et ses programmes de premier cycle et des cycles supérieurs très prestigieux. En 2024, le Département d’Économie a été classé premier par le journal The Guardian pour l’enseignement de premier cycle au Royaume–Uni. Ce classement reflète l’engagement continu du Département envers un enseignement et une recherche d’excellence, et renforce ainsi sa position parmi les premiers départements d’économie à travers le monde. Au–delà des réalisations pédagogiques, l’objectif du Département est d’être à la tête de recherches révolutionnaires et innovantes dans le domaine de l’économie ; d’avoir un impact durable sur la politique économique en dehors du monde universitaire ; et de développer et de former la prochaine génération de chercheurs et de leaders de la recherche.

À propos What Economists Really Do (WERD)
WERD est un programme de sensibilisation géré par le Département d’Économie de l’Université d’Oxford pour encourager l’étude de l’économie et informer sur « Ce que font réellement les économistes. » Sur des thèmes jets allant de la crise climatique à la discrimination sur le marché du travail, les économistes d’Oxford collaborent avec les gouvernements et les entreprises du monde entier afin d’améliorer les politiques et de contribuer à ce que l’économie fonctionne mieux pour chacun. Découvrez comment l’économie peut être utilisée pour mettre en lumière certains des plus grands problèmes auxquels la société est confrontée actuellement dans le cadre de cette série de webinaires publics à succès, qui revient pour sa quatrième saison en 2024 et 2025.

Interlocutrice auprès des médias :
Savitha Ravindran
Responsable des relations publiques internationales (Europe, Moyen–Orient, Afrique et Amérique latine, Amérique latine)
savitha.ravindran@ebc.com

Chyna Elvina
Responsable des relations publiques internationales (Asie–Pacifique et Amérique latine)
chyna.elvina@ebc.com

Douglas Chew
Directeur des relations publiques internationales
douglas.chew@ebc.com

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GLOBENEWSWIRE (Distribution ID 9316026)

Von fossilen Brennstoffen zu einer grünen Zukunft: Stellungnahme von Oxford und der EBC Financial Group über unsere Hinderungsgründe

OXFORD, Vereinigtes Königreich, Dec. 09, 2024 (GLOBE NEWSWIRE) — In einer Welt, die zunehmend von den beiden Krisen des Klimawandels und der wirtschaftlichen Instabilität geprägt ist, hat das Department of Economics der Oxford University in Zusammenarbeit mit der EBC Financial Group (EBC) eine wichtige Sitzung im Rahmen der Veranstaltungsreihe „What Economists Really Do?“ (Was machen Ökonomen wirklich?, kurz: WERD) durchgeführt. Die Veranstaltung brachte führende Köpfe aus der Wissenschaft und dem Finanzwesen zusammen, um umsetzbare Strategien zur Ausrichtung von Wirtschaftssystemen auf ökologische Nachhaltigkeit zu erforschen und gleichzeitig drängende gesellschaftliche Probleme anzugehen.

Die Veranstaltung mit dem Titel „Macroeconomics and Climate“ (Makroökonomie und Klima) umfasste eine Grundsatzrede von Associate Professor Andrea Chiavari und eine Podiumsdiskussion mit dem Titel „Sustaining Sustainability: Balancing Economic Growth and Climate Resilience“ (Nachhaltigkeit erhalten: Wirtschaftswachstum und Klimaresilienz ins Gleichgewicht bringen), die von Associate Professor Banu Demir Pakel moderiert wurde. Zu den Diskussionsteilnehmern gehörten Dr. Nicola Ranger, Director der Global Finance Group des Environmental Change Institute und Senior Research Fellow an der Oxford University, und David Barrett, CEO der EBC Financial Group (UK) Ltd. Gemeinsam analysierten sie die Schnittstelle zwischen Politik, Finanzen und menschlichen Auswirkungen und boten praktische Einblicke und Empfehlungen, die über den theoretischen Diskurs hinausgehen.

Von links nach rechts: Dr. Nicola Ranger (Director der Global Finance Group des Environmental Change Institute und Senior Research Fellow), Associate Professor Andrea Chiavari (Department of Economics), David Barrett (CEO der EBC Financial Group (UK) Ltd) und Associate Professor Banu Demir Pakel (Department of Economics)

EBC Financial Group: Förderung von verantwortungsvollem Handel und nachhaltiger Innovation
Die EBC Financial Group, die auf den globalen Finanzmärkten zunehmend präsent ist, bietet Kunden weltweit über ihre umfassenden Maklerlösungen Möglichkeiten für den Handel mit Devisen, Rohstoffen, Indizes u.v.m. Die an den wichtigsten Finanzzentren und aufstrebenden Märkten tätige EBC stattet Händler mit innovativen Tools aus und fördert die Zusammenarbeit, um den im Wandel begriffenen Herausforderungen der globalen Finanzwelt zu begegnen. Als offizieller Devisenpartner des FC Barcelona und Partner der Kampagne „United to Beat Malaria“ (Gemeinsam gegen Malaria) der United Nations setzt sich die EBC für eine Zukunft ein, die von Nachhaltigkeit, Gerechtigkeit und verantwortungsvollen Handelspraktiken geprägt ist.

Die Teilnahme von EBC an der WERD–Veranstaltung spiegelt die wachsende Dringlichkeit wider, eine Brücke zwischen Finanzmärkten und akademischer Forschung zu schlagen, um klimatische und wirtschaftliche Herausforderungen anzugehen. Durch die Beteiligung an einem gemeinsamen Dialog über umsetzbare Strategien hat sich die EBC einer Gemeinschaft von Vordenkern angeschlossen, die praktische Schritte zur Ausrichtung der Finanzsysteme auf die Ziele der nachhaltigen Entwicklung in den Fokus rücken.

Können wir die Wirtschaft ankurbeln und gleichzeitig den Planeten retten?
Im Mittelpunkt der Diskussionen stand die Erkenntnis, dass finanzielle und ökologische Sicherheit universell geteilte Anliegen sind. Dr. Chiavari hielt eine aufschlussreiche Grundsatzrede über die wirtschaftlichen Kosten des Klimawandels. Er veranschaulichte das dramatische Wachstum des globalen BIP seit der industriellen Revolution und stellte dieses dem ökologischen Tribut gegenüber, den der Verbrauch fossiler Brennstoffe und die steigenden CO2–Emissionen fordern. Chiavari betonte die entscheidende Bedeutung der sozialen CO2–Kosten bei der Gestaltung wirksamer politischer Maßnahmen.

Im Mittelpunkt seiner Botschaft stand das Konzept der sozialen CO2–Kosten, das die weit gefassten gesellschaftlichen Kosten von Emissionen quantifiziert. „Die Besteuerung von Kohlenstoff ist nicht nur eine ökologische Notwendigkeit, sondern auch eine wirtschaftliche“, unterstrich er. Dr. Chiavari erklärte, wie solche Maßnahmen die erforderlichen wirtschaftlichen Anreize schaffen könnten, um sowohl Unternehmen als auch Privatpersonen zu nachhaltigen Entscheidungen zu bewegen. „Denken Sie doch einfach an Ihr eigenes Leben“, fügte Chiavari hinzu. „Wenn Sie die Heizung aufdrehen, profitieren Sie wie bisher von einem wärmeren Raum. Aber jetzt sind Ihre Kosten viel höher als zuvor.“

Dr. Chiavari ging näher auf diesen Punkt ein und betonte, dass die Kohlenstoffbesteuerung darauf abzielt, die Kohlenstoffemissionen und nicht den Energieverbrauch selbst zu senken. „Die CO2–Steuer besteuert Kohlenstoff, nicht Energie“, erklärte er. „Sie schafft also enorme Anreize für den Privatsektor, für die Menschen, für Sie, für uns, für mich, von fossilen Brennstoffen auf alternative Energiequellen umzusteigen. Es geht nicht nur darum, die Energie oder Leistung zu reduzieren, sondern es werden auch enorme Anreize geschaffen, auf alternative Energiequellen umzustellen.“

Aufbauend auf dieser Grundlage befasste sich die Podiumsdiskussion unter der Leitung von Dr. Banu Demir Pakel eingehender mit den praktischen Aspekten der Ausrichtung des Wirtschaftswachstums auf Klimaresilienz.

Brücken schlagen zwischen Politik, Finanzwesen und Maßnahmen durch ein Podium mit unterschiedlichen Perspektiven
Die Podiumsdiskussion untersuchte das komplexe Zusammenspiel zwischen Wirtschaftswachstum und Klimaresilienz. Alle Diskussionsteilnehmer brachten ihr eigenes Fachwissen in die Diskussion ein und eröffneten neue Perspektiven, wie globale Systeme an diese beiden Notwendigkeiten angepasst werden können.

Dr. Chiavari betonte, dass der Klimawandel ein globales Problem sei, da Emissionen nicht an Landesgrenzen haltmachten und eine koordinierte internationale Reaktion erforderten. Er erörterte die Risiken der Verlagerung von CO2–Emissionen, bei der strenge klimapolitische Maßnahmen in einem Land dazu führen könnten, dass Emissionen in Regionen mit weniger strengen Vorschriften verlagert werden, was letztlich den globalen Fortschritt untergraben würde. Um diesen Effekt abzumildern, setzte sich Chiavari für Richtlinien ein, die internationale Zusammenarbeit und Innovation fördern und sicherstellen, dass der Übergang zu nachhaltigen Praktiken sowohl gerecht als auch umfassend abläuft.

Dr. Ranger hob die wirtschaftlichen Chancen hervor, die sich aus Klimaschutzmaßnahmen ergeben können, und erklärte: „Es geht nicht nur um Kosten, es geht um Chancen.“ Dr. Ranger erläuterte das Potenzial zur Schaffung von Arbeitsplätzen und zur Ankurbelung des Wirtschaftswachstums bei gleichzeitiger Bekämpfung von Klimarisiken und betonte außerdem, wie wichtig es sei, die öffentliche Wahrnehmung neu zu justieren. Sie betonte, dass wirksame Klimaschutzmaßnahmen Innovation und Fortschritt fördern können, ohne eine erhebliche finanzielle Belastung darzustellen. Sie setzte sich auch dafür ein, Subventionen für fossile Brennstoffe und andere umweltschädliche Subventionen, die sich weltweit auf bis zu 7 Bio. USD pro Jahr belaufen, in grüne Investitionen wie erneuerbare Energien umzuleiten.

Barrett nutzte seine umfassende Erfahrung auf den Finanzmärkten und betonte, wie wichtig es sei, Marktanreize mit Nachhaltigkeitszielen in Einklang zu bringen. Er teilte eine offene Einschätzung zu den sektoralen Herausforderungen bei der Akzeptanz von Nachhaltigkeit mit und betonte den gewinnorientierten Charakter von Finanzinstituten: „Der Finanzmarkt wird von der Notwendigkeit angetrieben, Geld zu verdienen – sei es für seine Aktionäre oder Investoren.“ Barrett betonte die dringende Notwendigkeit für Regierungen, durchsetzbare regulatorische Rahmenbedingungen zu schaffen, und wies darauf hin, dass dies unerlässlich sei, um den Einfluss des Sektors auf sinnvolle Klimaschutzmaßnahmen auszurichten.

Zum Thema der Rahmenbedingungen für Umwelt, Soziales und Verwaltung (Environmental, Social, Governance; ESG) äußerte Barrett Bedenken hinsichtlich der jeweiligen aktuellen Umsetzung und merkte an: „ESG ist zu einer reinen Pflichtübung geworden.“ Er forderte strengere Richtlinien, die die Rechenschaftspflicht gewährleisten und messbare Ergebnisse liefern, anstatt lediglich oberflächliche Compliance–Standards zu erfüllen.

Während einer Diskussion über Klima–„Clubs“ wies Barrett auf die Risiken fragmentierter globaler Maßnahmen hin. Er warnte: „Damit diese Initiativen erfolgreich sind, müssen alle wichtigen Akteure einbezogen werden. Andernfalls könnten die in einigen Regionen erzielten Emissionssenkungen durch erhöhte Emissionen an anderer Stelle wieder aufgehoben werden.“ Dies, so warnte er, könnte den kollektiven Fortschritt untergraben, der notwendig sei, um die Herausforderungen des Klimawandels zu bewältigen.

Welche praktischen Maßnahmen sollten Regierungen, Unternehmen und Privatpersonen ergreifen, um eine nachhaltige wirtschaftliche Zukunft zu schaffen, die für alle erreichbar und sicher ist?

Der Moderator und die Diskussionsteilnehmer wurden unabhängig von der Veranstaltung interviewt, um diese entscheidende Frage zu vertiefen und verschiedene Perspektiven auf die Rolle von Regierungen, Unternehmen und Privatpersonen bei der Bewältigung von Klimaherausforderungen aufzuzeigen.

Die Rolle der Regierungen: Politik und Planung
Dr. Demir Pakel betonte die Bedeutung von Bildung und Sensibilisierung bei der Bekämpfung des Klimawandels, insbesondere die Rolle der Regierungen bei der Herbeiführung eines Bewusstseinswandels. „Die Aufgabe der Regierung besteht darin, zunächst das Bewusstsein zu schärfen“, erklärte sie und betonte die Notwendigkeit einer frühzeitigen Aufklärung über die Folgen des Klimawandels. Sie betonte die Notwendigkeit von Richtlinien, die nicht nur Anreize für den Privatsektor schafften, sondern auch das Verbraucherverhalten lenkten, und bemerkte: „Es handelt sich um ein komplexes Netzwerk, in dem die Regierungen die Hauptverantwortung für die Planung und Steuerung von Maßnahmen auf allen Ebenen tragen.“

„Der Privatsektor braucht Anreize, um aktiv werden zu können, denn im Vergleich zur Regierung wird definitiv eine kurzfristigere Perspektive eingenommen. Daher muss das Verhalten des Privatsektors geändert werden. Und der Regierung fällt noch eine weitere Aufgabe zu: die Umsetzung von Richtlinien, um das Verhalten des Privatsektors wie auch der Verbraucher zu ändern“, fügte sie hinzu.

Marktanreize und CO2–Besteuerung
Dr. Chiavari betonte die Notwendigkeit staatlicher Interventionen, insbesondere durch CO2–Steuern, um Marktfehler zu korrigieren. Er erklärte, dass Regierungen durch die Einbeziehung der sozialen CO2–Kosten in die Energiepreise verantwortungsvollere Konsum– und Investitionsentscheidungen fördern können.

Das Narrativ verändern: Ein positiver Wandel
Dr. Ranger reflektierte über die aktuellen Herausforderungen im Klimaschutz und betonte von Neuem, dass ein wesentlicher Teil des Problems im Bewusstsein liege. „Im Moment läuft etwas schief, und ich denke, dass es dabei vor allem um die Bewusstseinsbildung geht“, bemerkte sie. „Regierungen spielen eine Rolle, sie verfolgen im Grunde genommen aber eine Politik, die stimmen fangen wird. Und das mangelnde Bewusstsein für die unmittelbaren Vorteile einer Umstellung auf grüne Energie – für die Energiesicherheit und öffentliche Gesundheit – ist derzeit ein zentrales Problem.“

Ranger kritisierte, dass das Narrativ des Klimawandels in den letzten Jahren gescheitert wäre, da dieser als kostspielige und belastende Herausforderung dargestellt worden sei. „Das Narrativ lautet insbesondere, dass die Bewältigung dieser Angelegenheit viel Geld kosten wird. Ich stimme dieser Ansicht nicht zu und die Beweise sprechen dagegen. Wir stehen vor schwierigen Entscheidungen, aber wir wissen, dass die Art und Weise, wie wir derzeit an die Sache herangehen, die Lage nur noch verschlimmert – insbesondere die ungewisse Regierungspolitik bremst die Investitionen und erhöht die Kosten. Alle Fakten deuten darauf hin, dass ein gerechter Übergang sowohl die geringsten Kosten verursacht als auch mehr Nutzen bringt, wenn wir die richtigen politischem Maßnahmen umsetzen und den Investoren einen klaren Weg aufzeigen“, sagte sie.

Sie wies auf Subventionen für fossile Brennstoffe hin und betonte, wie deren Umlenkung einen positiven Wandel beschleunigen könnte. „Wir pumpen weltweit so viel Geld in Subventionen für fossile Brennstoffe – die Schätzungen reichen von fünf bis sieben Billionen Dollar pro Jahr. Wenn man das stoppen und in saubere Technologien investieren würde, hätten wir das Problem gelöst.“

Um dieses Problem anzugehen, forderte Ranger eine Neuausrichtung des öffentlichen Diskurses, um die wirtschaftlichen Chancen hervorzuheben, die mit Klimaschutzmaßnahmen verbunden sind. Sie betonte die Rolle von Akademikern und Experten bei der Schaffung eines neuen Narrativs, und sagte: „Wir müssen dafür sorgen, dass die Menschen verstehen, dass dies ein positiver Wandel ist. Durch eine gute Regierungspolitik werden die individuellen Auswirkungen unerheblich sein und würden sogar das Beschäftigungswachstum und die Innovation fördern.“

Ranger schloss mit der Aufforderung an die Regierungen, bei der Änderung dieses Narrativs voranzugehen, und erklärte: „Was ich mir wirklich wünschen würde, ist, dass sich die Regierungen dem Thema annehmen und erklären, was die Folgen sind. Was die individuellen Vorteile des Klimaschutzes sind. Welcher Weg zu gehen ist. Das ist es, was sowohl Investoren als auch die Öffentlichkeit brauchen.“

Die Rolle von Unternehmen und Privatpersonen: Verantwortung und Innovation
Barrett gab einen ehrlichen Einblick in die Rolle von Unternehmen und Privatpersonen beim Klimaschutz. Er betonte die Gewinnorientierung des Finanzsektors und warnte davor, dass dieser ohne klare regulatorische Rahmenbedingungen keine Nachhaltigkeitsbemühungen herbeiführen würde. „Die Finanzmärkte werden das nicht von alleine tun. Sie benötigen Handlungsanreize“, erklärte er. „Wenn der Finanzsektor erst einmal in eine Richtung gelenkt wurde und sich für ein Thema begeistert, kann er Unglaubliches erreichen, aber es bedarf klarer Richtlinien und Anreize, um dieses Ziel zu erreichen.“

Barrett reflektierte zudem über die Rolle des Einzelnen als Wähler und Verbraucher und betonte, dass individuelle Entscheidungen erheblichen Einfluss auf die Politik und das Verhalten von Unternehmen ausüben könnten. „Die Politik muss die Wähler viel besser darüber aufklären, welches Ziel erreicht werden soll und welche Maßnahmen diesbezüglich zu erwarten sind“, bemerkte er. Privatpersonen können einen systemischen Wandel vorantreiben, wenn sie nachhaltige Praktiken priorisieren und die politischen Entscheidungsträger in die Verantwortung nehmen.

Barrett kritisierte zwar oberflächliche Maßnahmen wie Pro–forma–ESG–Rahmenbedingungen, blieb aber optimistisch, was das zukünftige Potenzial des Finanzwesens angeht. „Das Finanzwesen hat eine unglaubliche Innovationskraft“, bemerkte er. „Es kann Berge versetzen und echte Probleme lösen, doch es bedarf der richtigen Anreize und ehrlicher Gespräche darüber, was auf dem Spiel steht.“ Er forderte eine Abkehr von kurzfristigen politischen Zyklen und eine Hinwendung zu zukunftsorientierten Strategien und appellierte an alle Beteiligten, sich den langfristigen Maßnahmen anzunehmen, die für eine wirksame Bekämpfung der Klimakrise erforderlich sind.

Die vollständige Sitzung der WERD–Ausgabe „Macroeconomics and Climate“ (Makroökonomie und Klima) einschließlich der Grundsatzrede und der Podiumsdiskussion können Sie sich unter https://youtu.be/MD5vaMjQdkc anschauen.

Über die EBC Financial Group
Die EBC Financial Group (EBC) wurde im renommierten Londoner Finanzdistrikt gegründet und ist für ihr umfassendes Dienstleistungsangebot bekannt, das Finanzmaklergeschäfte, Vermögensverwaltung und umfassende Investitionslösungen umfasst. EBC hat sich in kurzer Zeit einen Namen als globales Maklerunternehmen gemacht und ist an wichtigen Finanzzentren wie London, Hongkong, Tokio, Singapur, Sydney, den Cayman Islands und in Schwellenmärkten in Lateinamerika, Südostasien, Afrika und Indien stark vertreten. Die EBC bedient eine vielfältige Klientel, die aus Kleininvestoren, professionellen Investoren und institutionellen Investoren aus aller Welt besteht.

Die EBC wurde mehrfach ausgezeichnet und rühmt sich der Einhaltung der höchsten ethischen Standards und internationalen Vorschriften. Die Tochtergesellschaften der EBC Financial Group sind in ihren jeweiligen lokalen Rechtsprechungen reguliert und lizenziert. Die EBC Financial Group (UK) Limited wird von der britischen Financial Conduct Authority (FCA) reguliert, die EBC Financial Group (Cayman) Limited wird von der Cayman Islands Monetary Authority (CIMA) reguliert, die EBC Financial Group (Australia) Pty Ltd und die EBC Asset Management Pty Ltd werden von der australischen Securities and Investments Commission (ASIC) reguliert.

Den Kern der EBC Group bilden erfahrene Fachleute mit mehr als 30 Jahren fundierter Erfahrung in großen Finanzinstituten, die geschickt durch bedeutende Wirtschaftszyklen navigiert sind, vom Plaza Accord bis zur Schweizer Frankenkrise 2015. Die EBC setzt sich für eine Kultur ein, in der Integrität, Respekt und die Sicherheit des Kundenvermögens an erster Stelle stehen, und stellt sicher, dass jedes Engagement eines Anlegers mit der größten Ernsthaftigkeit behandelt wird, die es verdient.

Die EBC ist der offizielle Devisenpartner des FC Barcelona und bietet spezialisierte Dienstleistungen in Regionen wie Asien, LATAM, dem Nahen Osten, Afrika und Ozeanien. Die EBC ist auch Partner von United to Beat Malaria, einer Kampagne der United Nations Foundation zur Verbesserung der globalen Gesundheitslage. Ab Februar 2024 unterstützt die EBC die Reihe „What Economists Really Do“ (Was Ökonomen wirklich tun) des Department of Economics der Oxford University, in der die Wirtschaftswissenschaften entmystifiziert und auf wichtige gesellschaftliche Herausforderungen angewandt werden, um das öffentliche Verständnis und den Dialog zu verbessern.

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Über das Department of Economics
Das Oxford Department of Economics ist ein weltweit anerkanntes Kompetenzzentrum, das eine der größten wirtschaftswissenschaftlichen Gemeinschaften der Welt beherbergt. Der Fachbereich ist für seine profunde und vielfältige Forschung bekannt, die maßgeblichen Einfluss auf die Politik hat, und wird zudem für seine dynamische Gemeinschaft von Nachwuchswissenschaftlern und seine hoch angesehenen Bachelor– und Masterstudiengänge gefeiert. Im Jahr 2024 wurde das Department of Economics vom The Guardian zur besten Lehranstalt im Vereinigten Königreich für das Grundstudium gekürt. Dieser Rang spiegelt das kontinuierliche Engagement des Fachbereichs für Exzellenz in Lehre und Forschung wider und untermauert seine Position als eine der führenden Wirtschaftsfakultäten der Welt. Über die Erfolge in der Lehre hinaus ist es das Ziel des Fachbereichs, transformative und innovative Wirtschaftsforschung zu betreiben, einen nachhaltigen Beitrag für die Wirtschaftspolitik außerhalb der akademischen Welt zu leisten und die nächste Generation von Forschern und Forschungsleitern auszubilden.

Über What Economists Really Do (WERD)
WERD ist ein Aufklärungsprogramm des Department of Economics der Oxford University, das für das Studium der Wirtschaftswissenschaften begeistern und „What Economists Really Do“ verbreiten soll. Wirtschaftswissenschaftler aus Oxford arbeiten mit Regierungen und Unternehmen auf der ganzen Welt an Themen zusammen, die von der Klimakrise bis hin zu Diskriminierung auf dem Arbeitsmarkt reichen, um die Politik zu verbessern und eine bessere Wirtschaft für das Gemeinwohl zu ermöglichen. In dieser erfolgreichen öffentlichen Webinar–Reihe, die 2024–25 zum vierten Mal stattfindet, erfahren Sie, wie einige der größten gesellschaftlichen Probleme der Gegenwart wirtschaftswissenschaftlich beleuchtet werden.

Medienkontakt:
Savitha Ravindran
Global Public Relations Manager (EMEA, LATAM)
savitha.ravindran@ebc.com

Chyna Elvina
Global Public Relations Manager (APAC, LATAM)
chyna.elvina@ebc.com

Douglas Chew
Global Public Relations Lead
douglas.chew@ebc.com

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GLOBENEWSWIRE (Distribution ID 9316026)

De Combustíveis Fósseis a Futuros Verdes: Oxford e EBC Financial Group Falam Sobre o Que Está Nos Segurando

OXFORD, Reino Unido, Dec. 09, 2024 (GLOBE NEWSWIRE) — Em um mundo cada vez mais moldado pela dupla crise das mudanças climáticas e da instabilidade econômica, o Oxford Department of Economics, em colaboração com o EBC Financial Group (EBC), organizou uma importante sessão da série “What Economists Really Do?” (WERD). O evento reuniu as principais mentes da academia e das finanças para explorar estratégias acionáveis para alinhar os sistemas econômicos com a sustentabilidade ambiental e, ao mesmo tempo, abordar as preocupações sociais urgentes.

O evento, intitulado “Macroeconomics and Climate” (Macroeconomia e Clima), contou com uma palestra da Professora Associada Andrea Chiavari e um painel de discussão intitulado “Sustaining Sustainability: Balancing Economic Growth and Climate Resilience” (Sustentando a Sustentabilidade: Equilíbrio Entre o Crescimento Econômico e a Resiliência Climática), moderada pela Professora Associada Banu Demir Pakel. Os membros do painel incluíram a Dra. Nicola Ranger, Diretora do Global Finance Group of the Environmental Change Institute e Pesquisadora Sênior de Oxford, e David Barrett, CEO do EBC Financial Group (UK) Ltd. Juntos, eles dissecaram a interseção entre política, finanças e impacto humano, oferecendo insights e recomendações práticas que vão além do discurso teórico.

Da esquerda para a direita: Dra. Nicola Ranger (Diretora do Global Finance Group of the Environmental Change Institute e Pesquisadora Sênior), Professor Associado Andrea Chiavari (Department of Economics), David Barrett (CEO do EBC Financial Group (UK) Ltd), e Professora Associada Banu Demir Pakel (Department of Economics)

Sobre o EBC Financial Group: Capacitação do Comércio Responsável e da Inovação Sustentável
O EBC Financial Group, uma presença crescente nos mercados financeiros globais, conecta clientes em todo o mundo a oportunidades de negociação em forex, commodities, índices e muito mais com suas soluções abrangentes de corretagem. Operando nos principais centros financeiros e mercados emergentes, o EBC equipa os traders com ferramentas inovadoras e promove a colaboração para que possam enfrentar os desafios em evolução das finanças globais. Como Parceiro Oficial de Câmbio do FC Barcelona e parceiro da campanha Unidos para Combater a Malária das Nações Unidas, o EBC está empenhado em moldar um futuro definido pela sustentabilidade, equidade e práticas comerciais responsáveis.

A participação do EBC no WERD reflete a crescente urgência da união dos mercados financeiros e a pesquisa acadêmica para o enfrentamento dos desafios climáticos e econômicos. Ao contribuir para um diálogo compartilhado sobre estratégias acionáveis, o EBC juntou–se a uma comunidade de líderes de pensamento para destacar passos práticos para o alinhamento dos sistemas financeiros com os objetivos de desenvolvimento sustentável.

Podemos Aumentar a Economia e Salvar o Planeta?

As discussões foram focadas no reconhecimento de que a segurança financeira e ambiental são preocupações universalmente compartilhadas. O Dr. Chiavari fez uma palestra reveladora sobre os custos econômicos das mudanças climáticas. Ele ilustrou o crescimento dramático do PIB global desde a revolução industrial, justapondo isso com o impacto ambiental do consumo de combustíveis fósseis e o aumento das emissões de CO2. Chiavari destacou a importância crítica do custo social do carbono na formulação de políticas eficazes.

O ponto central da sua mensagem foi o conceito do custo social do carbono, que quantifica os custos sociais mais amplos das emissões. “Além de ser uma necessidade ambiental, a tributação do carbono também é uma necessidade econômica”, disse ele. O Dr. Chiavari explicou como tais medidas podem criar os incentivos econômicos necessários para orientar corporações e indivíduos em direção a escolhas sustentáveis. “Bem, pense novamente”, acrescentou Chiavari. “O uso do aquecimento tem o mesmo benefício de antes – aquecer um ambiente. Mas agora seu custo é muito maior.”

Expandindo este ponto, o Dr. Chiavari enfatizou que a tributação do carbono está voltada para as emissões de carbono e não para o consumo de energia. “A tributação do carbono tributa o carbono, não tributa a energia”, explicou ele. “E isso cria enormes incentivos para o setor privado, para as pessoas, para você, para nós, para mim, passar dos combustíveis fósseis para fontes alternativas de energia. Não se trata apenas de reduzir a energia ou a sua produção; cria enormes incentivos para a mudança para fontes alternativas de energia.”

Com base nisso, o painel de discussão detalhou os aspectos práticos do alinhamento do crescimento econômico com a resiliência climática, moderado pela Dra. Banu Demir Pakel.

Conexão da Política, Finanças e Ação em um Painel de Perspectivas

O painel de discussão explorou a complexa interação entre p crescimento econômico e a resiliência climática. Cada painelista contribuiu com conhecimentos distintos para a conversa, oferecendo novas perspectivas sobre como os sistemas globais podem se adaptar a esses dois pontos essenciais.

O Dr. Chiavari enfatizou a natureza global do combate às mudanças climáticas, destacando que as emissões transcendem as fronteiras e exigem uma resposta internacional coordenada. Ele falou sobre os riscos de vazamento de carbono, onde políticas climáticas rigorosas em um país podem levar ao deslocamento de emissões para regiões com regulamentações mais fracas, prejudicando o progresso global. Para mitigar isso, Chiavari defendeu políticas que promovam a colaboração e a inovação internacionais, garantindo que as transições para práticas sustentáveis sejam equitativas e abrangentes.

A Dra. Ranger destacou as oportunidades econômicas que podem surgir da ação climática, afirmando: “Não se trata apenas de custos, mas também de oportunidades”. Articulando o potencial da criação de empregos e estímulo ao crescimento econômico, e abordagem dos riscos climáticos, a Dra. Ranger também enfatizou a importância da reformulação das narrativas públicas. Ela ressaltou que uma ação climática eficaz pode promover a inovação e o progresso sem impor um ônus financeiro significativo. Ela também defende o redirecionamento de combustíveis fósseis e outros subsídios prejudiciais ao meio ambiente, que globalmente chegam a US $ 7 trilhões ao ano, para investimentos verdes, como energia renovável.

Aproveitando sua vasta experiência nos mercados financeiros, Barrett enfatizou a importância de alinhar os incentivos de mercado com as metas de sustentabilidade. Ele compartilhou uma avaliação franca dos desafios do setor na adoção da sustentabilidade, ressaltando a natureza lucrativa das instituições financeiras: “O mercado financeiro é impulsionado pela necessidade de ganhar dinheiro – seja para seus acionistas ou para os investidores.” Barrett destacou a necessidade crítica de os governos criarem estruturas regulatórias aplicáveis, observando que esse alinhamento é essencial para canalizar a influência do setor para ações climáticas significativas.

Sobre o tema das estruturas Environmental, Social, and Governance (ESG – Ambientais, Sociais e de Governança), Barrett expressou preocupação com sua implementação atual, observando que “a ESG simplesmente se tornou uma burocracia”. Ele pediu políticas mais fortes que garantam a prestação de contas e proporcionem um impacto mensurável, em vez de simplesmente atender aos padrões de conformidade superficiais.

Durante uma discussão sobre “clubes” climáticos, Barrett destacou os riscos de esforços globais fragmentados. Ele advertiu: “Para que essas iniciativas tenham sucesso, elas precisam incluir todos os principais participantes. Caso contrário, as reduções de emissões alcançadas em algumas regiões poderiam ser canceladas pelo aumento das emissões em outros lugares.” Isso, ele alertou, poderia minar o progresso coletivo necessário para o enfrentamento dos desafios climáticos.

Que Medidas Práticas os Governos, Empresas e Indivíduos Devem Adotar para a Criação de um Futuro Econômico Sustentável que Seja Alcançável e Seguro Para Todos?

Separadamente, o moderador e os painelistas foram entrevistados quanto a essa questão crucial, e apresentaram diversas perspectivas sobre os papéis colaboradores de governos, empresas e indivíduos na abordagem dos desafios climáticos.

O Papel dos Governos: Políticas e Planejamento

A Dra. Demir Pakel enfatizou a importância da educação e da conscientização no combate às mudanças climáticas, particularmente sobre o papel dos governos na condução das mudanças. “O papel do governos é começar com uma maior conscientização”, explicou ela, enfatizando a necessidade da divulgação das consequências das mudanças climáticas. Ela destacou a necessidade de políticas que não apenas incentivem o setor privado, mas também orientem o comportamento do consumidor, observando: “É uma rede complexa onde os governos têm a responsabilidade primária de planejar e orientar ações em todos os níveis”.

“O setor privado precisa de incentivos para poder agir, porque eles definitivamente parecerão de curto prazo em comparação com os governos. Portanto, seu comportamento precisa ser mudado, e os governos têm outro papel: implementar políticas para mudar o comportamento do setor privado e dos consumidores ”, ela acrescentou.

Incentivos de Mercado e Tributação do Carbono

O Dr. Chiavari reforçou a necessidade de intervenções lideradas pelos governos, particularmente por meio da tributação do carbono, como meio de corrigir as falhas do mercado. Ele explicou que, ao incorporar o custo social das emissões nos preços da energia, os governos podem incentivar decisões de consumo e investimento mais responsáveis.

Mudança da Narrativa: Uma Transição Positiva

A Dra. Ranger refletiu sobre os desafios atuais da ação climática, ressaltando que uma parte significativa do problema está na conscientização. “Algo está errado e acho que o grande problema é a conscientização”, observou ela. “Os governos desempenham um papel, mas eles fundamentalmente fazem o que o público vai aprovar por meio dos votos. E a falta de conscientização dos benefícios imediatos de uma transição para uma energia verde – para a segurança energética e a saúde pública – é um problema fundamental no momento.”

A Dra. Ranger criticou a narrativa em torno das mudanças climáticas que falhou nos últimos anos, por ser um desafio caro e pesado. “Particularmente, a narrativa é que vai ser muito caro. Não concordo com essa visão e isso não é apoiado pelas evidências. Temos que tomar decisões difíceis, mas a maneira como isso está sendo feito está dificultando muito todo o processo – especificamente, a falta de certeza dos governos sobre suas políticas impede o investimento e aumenta os custos. Todas as evidências mostram que, a implementação de políticas certas e o estabelecimento de um caminho claro para os investidores, uma transição justa seria o caminho de menor custo e mais benéfico ”, disse ela.

Apontando para os subsídios aos combustíveis fósseis, ela destacou como seu redirecionamento poderia catalisar uma transição positiva. “Injetamos muito dinheiro em subsídios aos combustíveis fósseis em todo o mundo – as estimativas variam de cinco a sete trilhões de dólares ao ano. Se ao invés disso o dinheiro tivesse sido aplicado em tecnologias limpas, teríamos resolvido o problema.”

Para resolver isso, a Dra. Ranger pediu uma mudança no discurso público, enfatizando as oportunidades econômicas inerentes à ação climática. Ela enfatizou o papel dos acadêmicos e especialistas na reformulação da narrativa, dizendo: “Precisamos que as pessoas entendam que essa transição é positiva. Um boa política governamental não afetaria substancialmente as pessoas e, na verdade, impulsionaria o crescimento do emprego e da inovação.”

A Dra. Ranger concluiu pedindo aos governos que assumam a liderança na mudança dessa narrativa, dizendo: “O que eu realmente gostaria de ver é o apoio dos governos, dizendo: ‘Isso é o que vai acontecer. Vai ajudar vocês. Aqui está o caminho. É disso que os investidores e o público precisam.’”

O Papel das Empresas e dos Indivíduos: Responsabilidade e Inovação

Barrett forneceu uma perspectiva franca sobre o papel das empresas e dos indivíduos na ação climática. Ele destacou a natureza lucrativa do setor financeiro, alertando que sem estruturas regulatórias claras a sustentabilidade não será uma prioridade. “Os mercados financeiros não farão isso sozinhos. Eles precisam ser incentivados a agir”, disse. “Quando o setor financeiro é direcionado e se entusiasma com um tópico, ele pode realizar coisas incríveis. Mas isso requer políticas e incentivos claros.”

Barrett também refletiu sobre o papel dos indivíduos como eleitores e consumidores, enfatizando que suas escolhas podem influenciar significativamente a política e o comportamento corporativo. “A política precisa ser muito melhor em educar o eleitor sobre o que ele quer e como deve esperar que isso aconteça”, observou ele. Ao priorizar práticas sustentáveis e responsabilizar os formuladores de políticas, os indivíduos podem impulsionar mudanças sistêmicas.

Embora critique medidas superficiais, como as estruturas ESG “burocráticas”, Barrett manteve uma perspectiva otimista sobre o potencial do setor financeiro. “O setor financeiro pode ser incrivelmente inovador”, observou ele. “Ele pode mover montanhas e resolver problemas reais, mas precisa dos incentivos certos e de conversas honestas sobre o que está em jogo.” Ele pediu uma mudança de ciclos políticos de curto prazo para estratégias voltadas para o futuro, exortando todas as partes interessadas a abraçar o esforço de longo prazo necessário para enfrentar a crise climática de forma eficaz.

Para assistir à sessão completa do episódio “Macroeconomics and Climate” da WERD, incluindo a palestra e o painel de discussão, visite https://youtu.be/MD5vaMjQdkc.

Sobre o EBC Financial Group

Fundado no conceituado distrito financeiro de Londres, o EBC Financial Group (EBC) é conhecido pelo seu conjunto abrangente de serviços que incluem corretagem financeira, gestão de ativos e soluções de investimento abrangentes. O EBC rapidamente estabeleceu sua posição como uma corretora global, com uma ampla presença em centros financeiros importantes, como Londres, Hong Kong, Tóquio, Singapura, Sydney, Ilhas Cayman e em mercados emergentes na América Latina, Sudeste Asiático, África e Índia. O EBC atende a uma clientela diversificada de investidores de varejo, profissionais e institucionais em todo o mundo.

Reconhecido com várias premiações, o EBC se orgulha de aderir aos principais níveis de padrões éticos e regulamentações internacionais. As subsidiárias do EBC Financial Group são regulamentadas e licenciadas em suas jurisdições locais. O EBC Financial Group (UK) Limited é regulado pela Financial Conduct Authority (FCA) do Reino Unido, o EBC Financial Group (Cayman) Limited é regulado pela Cayman Islands Monetary Authority (CIMA), o EBC Financial Group (Australia) Pty Ltd e o EBC Asset Management Pty Ltd são regulados pela Australia’s Securities and Investments Commission (ASIC).

No centro do Grupo EBC estão profissionais experientes com mais de 30 anos de profunda experiência em grandes instituições financeiras, tendo navegado habilmente por ciclos econômicos significativos, desde o Plaza Accord até a crise do franco suíço em 2015. O EBC defende uma cultura na qual a integridade, o respeito e a segurança dos ativos dos clientes são fundamentais, garantindo que todo o envolvimento dos investidores seja tratado com a máxima seriedade que merece.

O EBC é o Parceiro Oficial de Câmbio do FC Barcelona, oferecendo serviços especializados em regiões como Ásia, LATAM, Oriente Médio, África e Oceania. O EBC Financial Group tem parceria com a Unidos para Combater a Malária, uma campanha da Fundação das Nações Unidas que visa aumentar a saúde global. A partir de fevereiro de 2024 a EBC passou a apoiar a série de engajamentos públicos “What Economists Really Do” (O que os economistas realmente fazem) do Department of Economics da Oxford University, desmistificando a economia e sua aplicação aos principais desafios sociais para aumentar a sua compreensão e o diálogo do público.

https://www.ebc.com/

Sobre o Department of Economics

O Oxford Department of Economics é um centro de excelência reconhecido mundialmente, que abriga uma das maiores comunidades de economistas acadêmicos do mundo. Conhecido pela profundidade e diversidade das suas pesquisas que influenciam significativamente a política, o Departamento também é conhecido por sua comunidade dinâmica de acadêmicos em início de carreira e seus programas de graduação e pós–graduação altamente conceituados. Em 2024, o Oxford Department of Economics foi classificado em primeiro lugar no Reino Unido pelo The Guardian pelo seu ensino de graduação. O ranking reflete o compromisso contínuo do Departamento com a excelência em ensino e pesquisa, solidificando sua posição como um dos principais departamentos de Economia do mundo. Além das conquistas no ensino, o objetivo do Departamento é produzir pesquisas econômicas transformadoras e inovadoras; ter um impacto sustentado na política econômica fora da academia; e desenvolver e treinar a próxima geração de pesquisadores e líderes de pesquisas.

Sobre o What Economists Really Do (WERD)

WERD é um programa de extensão do Department of Economics, Oxford University para inspirar o estudo da economia e compartilhar 'What Economists Really Do'. Com tópicos que vão desde a crise climática até a discriminação no mercado de trabalho, os economistas de Oxford estão trabalhando com governos e empresas em todo o mundo para melhorar as políticas e fazer com que a economia funcione melhor para todos. Descubra como a economia pode ser usada para esclarecer alguns dos maiores problemas que a sociedade enfrenta hoje nesta série de webinars públicos de sucesso, retornando para a quarta série de sucesso em 2024–25.

Contato com a Mídia:
Savitha Ravindran
Gerente Global de Relações Públicas (EMEA, LATAM)
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GLOBENEWSWIRE (Distribution ID 9316026)

Mavenir präsentiert zukünftige Unternehmensstrategie auf jährlichem Global Analyst Event in Dallas

RICHARDSON, Texas, Dec. 05, 2024 (GLOBE NEWSWIRE) — Mavenir, ein Anbieter von cloudnativer Netzwerkinfrastruktur, der die Zukunft der Netzwerke gestaltet, veranstaltet vom 11. bis 12. Dezember 2024 sein jährliches Event für Analysten, um die laufenden Aktivitäten des Unternehmens zur Förderung der digitalen Transformation des Mobilfunknetzes zu beleuchten und seine Präsenz in der Telekommunikationsbranche als Anbieter einer cloudnativen, softwaregesteuerten Infrastruktur zu stärken, die auf den Aufbau offener, disaggregierter und KI–fähiger Netzwerke der Zukunft ausgerichtet ist. Während des Events wird Mavenir seine bahnbrechenden Fortschritte, strategischen Initiativen und seine Zukunftsstrategie globalen Analysten, Kunden und Partnern vorstellen.

Der Höhepunkt der Veranstaltung werden von Analysten moderierte Kamingespräche mit dem Führungsteam von Mavenir sein, die das gesamte Lösungsportfolio des Unternehmens, einschließlich Open RAN (Radio und vRAN) und Mobile Core–Technologien (IMS, Packet Core, Digital Enablement, Messaging, Sicherheit), behandeln werden. Die Führungskräfte werden außerdem über die vielversprechende Dynamik des Unternehmens sprechen, einschließlich der jüngsten Anerkennung bei den Global Telecoms Awards 2024, bei denen die Network Intelligence as a Service mit dem Advancing Artificial Intelligence Award ausgezeichnet wurde. Mehrere Kunden und Partner von Mavenir werden ferner über aktuelle technologische Innovationen und erfolgreiche Implementierungen berichten, die durch die Technologie von Mavenir weltweit ermöglicht wurden.

Zu den Höhepunkten der Sitzungen gehören:

  • Umfassende Portfolio–Updates: Präsentation des robusten Portfolios von Mavenir, das auf die Bedürfnisse der Betreiber in Bezug auf die Monetarisierung von Netzwerken und Kosteneffizienz zugeschnitten ist.
  • Erkenntnisse und zukünftige Strategie: Wichtige Erkenntnisse, mit denen wir die Einführung von Brownfield–Lösungen im Bereich Open RAN durch Differenzierung und Innovation weiter beschleunigen können.
  • Fortgesetzte Investitionen in das IMS Core Portfolio: Pläne, wie Mavenir sein IMS Core Portfolio stärkt, aufbauend auf seiner bestehenden Grundlage, die Hunderte Millionen Abonnenten über verschiedene Dienstleistungen hinweg unterstützt, darunter Mobilfunk, Festnetz, Privatkunden und Unternehmen. Der Wachstumsplan konzentriert sich auf die Nutzung der etablierten Basis und zielt darauf ab, etablierte Anbieter zu ersetzen und das wachsende Portfolio von Mavenir zu erweitern.
  • Nutzung des wachstumsstarken Packet Core Portfolios: Der konvergente Packet Core von Mavenir verzeichnet ein rasantes Wachstum im 5G–Segment, das durch die steigende Nachfrage nach Anwendungsfällen wie FWA, Satellitenkommunikation, private Netzwerke, Edge–Computing und den zunehmenden IoT–/Connected–Device–Traffic bedingt ist. Als einziges cloudnatives, von Grund auf neu entwickeltes Komplettangebot für Packet–Core–Netzwerkfunktionen zeigen wir, warum Mavenir einzigartig positioniert ist, um von der Verlagerung der Branche hin zu Automatisierung, KI/ML, Energieeffizienz und anderen wichtigen Anwendungsfällen zu profitieren.
  • Wachstum und Kundengewinnung: Pläne zur Nutzung des umfassenden End–to–End(E2E)–Portfolios von Mavenir und zur Erschließung vielversprechender 5G–Monetarisierungsmöglichkeiten mit cloudnativen Lösungen.
  • Nachhaltigkeit: Wie das Engagement von Mavenir für energieeffiziente, nachhaltige Lösungen die betriebliche Exzellenz in E2E–Netzwerken fördert.
  • Herausforderungen für Betreiber: Bewältigung von Herausforderungen bei der Sicherstellung des Netzwerkbetriebs, mit denen Kommunikationsdienstleister konfrontiert sind – durch den Einsatz von KI/ML–gestützter Network Intelligence as a Service, die den Weg für die Automatisierungsstufe 4 ebnet.
  • Innovation durch Partnerschaften: Einblick in die Zusammenarbeit mit Drittanbietern, die sich auf die Förderung von Innovationen in verschiedenen Bereichen konzentriert.

Pardeep Kohli, Präsident und CEO von Mavenir, der das zweitägige Event mit der Präsentation der Zukunftsstrategie des Unternehmens eröffnen wird, erklärte: „Mavenir ist nicht nur ein Equipment–Anbieter – wir spielen eine aktive Rolle bei der Neudefinition des Netzwerks der Zukunft, basierend auf unserer unübertroffenen technischen Innovation und unserem einzigartigen Verständnis der strategischen Möglichkeiten, die sich Kommunikationsdienstleistern durch die Netzwerktransformation eröffnen. Wir freuen uns auf dieses Treffen der globalen Community von Telekommunikationsanalysten, bei dem sie aus erster Hand Neuigkeiten über unsere technologischen Fortschritte, strategischen Partnerschaften und unser anhaltendes Engagement für Nachhaltigkeit von unserem erfahrenen Team bei Mavenir erfahren können.“

Hinweise für Redakteure:

Überblick über das Mavenir Global Analyst Event: 11. bis 12. Dezember 2024

Beim zweitägigen Global Analyst Event wird die Open–RAN–Fähigkeit von Mavenir im Mittelpunkt stehen. Dabei werden Erfolgsgeschichten von Kunden vorgestellt, anhand derer die Performance und Skalierbarkeit demonstriert wird, sowie strategische Kooperationen mit Innovatoren, die Fortschritte in verschiedenen Bereichen vorantreiben. Mavenir wird seine Strategien zur Beschleunigung von Brownfield–Implementierungen im Bereich Open RAN vorstellen, wobei der Schwerpunkt auf Differenzierung und Innovation liegt, und Pläne zur Förderung des geschäftlichen Wachstums durch die Nutzung seines umfassenden End–to–End–Portfolios und die Erschließung neuer 5G–Monetarisierungsmöglichkeiten durch cloudnative Lösungen vorstellen. Auch Nachhaltigkeit wird eine zentrale Rolle spielen, wobei der Schwerpunkt auf energieeffizienten Lösungen liegt, die operative Exzellenz gewährleisten, während Mavenirs KI/ML–gestützte Network Intelligence as a Service die drängenden Herausforderungen der Netzbetreiber bei der Sicherung von Netzwerkdiensten angehen wird. Durch die Präsentation seines robusten Portfolios wird Mavenir seine Rolle als Visionär bei der Förderung innovativer und nachhaltiger Telekommunikationslösungen stärken und den Weg für eine neue Ära der Netzwerktransformation ebnen. Um weitere Informationen zu erhalten, wenden Sie sich bitte an AR@mavenir.com.

Über Mavenir

Mavenir baut die Zukunft der Netzwerke schon heute mit cloudnativen, KI–fähigen Lösungen auf, die von Grund auf umweltfreundlich sind und es den Betreibern ermöglichen, die Vorteile von 5G zu nutzen und intelligente, automatisierte und programmierbare Netzwerke zu realisieren. Als Pionier des Open RAN und bewährter Branchenumgestalter sorgen die preisgekrönten Lösungen von Mavenir für Automatisierung und Monetarisierung in Mobilfunknetzen weltweit und beschleunigen die Transformation von Software–Netzwerken für über 300 Kommunikationsdienstanbieter in über 120 Ländern, die mehr als 50 % der weltweiten Abonnenten bedienen. Weitere Informationen finden Sie unter www.mavenir.com

Medienkontakte

Mavenir – PR–Kontakte:
Emmanuela Spiteri
PR@mavenir.com


GLOBENEWSWIRE (Distribution ID 9315037)