IBFD Expands Access to Critical Tax Research for over 11,500 Institutions in Low- and Middle-income Countries through New Partnership with Research4Life

Amsterdam, June 25, 2025 (GLOBE NEWSWIRE) — The International Bureau of Fiscal Documentation (IBFD) has joined Research4Life as a contributing publisher, providing free or low–cost access to a selection of its leading tax publications for eligible institutions in low– and middle–income countries.

Fostering Inclusivity, Diversity, and Equity in Scholarly Communication

Research4Life supports more than 11,500 institutions across over 125 countries, working to empower research, teaching, and policymaking through equitable access to high–quality academic content. Since its establishment, Research4Life has facilitated access to millions of peer–reviewed sources across various disciplines, strengthening academic and professional communities around the world. By joining this global initiative, IBFD reinforces its commitment to fostering sound tax policy and capacity–building worldwide. As part of the partnership, Research4Life users will gain access to IBFD’s World Tax Journal, International Tax Studies Journal, and its extensive Open Archive Books collection, all recognized as authoritative resources in the field of international taxation.

“Joining Research4Life as a contributing publisher is a natural step for IBFD.” said Belema Obuoforibo, Director of the IBFD Knowledge Centre, and Member of the IBFD Executive Board. “Our books and journals are trusted by tax researchers and practitioners around the world to support their work and deepen their expertise. This partnership opens the door for a wider audience, particularly in low– and middle–income countries, to access and apply our resources meaningfully in their own research and practice. We are proud to support Research4Life’s mission to ‘foster inclusivity, diversity, and equity in scholarly communication’.”

Promoting Global Tax Education and Research

This partnership is part of IBFD’s broader mission to promote global tax education and research, furthering efforts to make specialized tax knowledge accessible in underserved regions. The impact of this initiative is far–reaching. A university in a developing country, for example, may now have access to IBFD’s tax publications, enabling faculty members and students to develop informed research and recommendations that strengthen tax systems and drive economic growth. Similarly, policymakers in developing economies can leverage IBFD’s research to support fair taxation and improve compliance measures, fostering sustainable fiscal governance.

Craig West, Principal Associate of IBFD Academic, emphasized the significance of the collaboration: “At IBFD, our mission is to promote and disseminate the understanding of cross–border taxation at the highest level. Through Research4Life, academics in supported regions can now access high–quality research on international tax matters – enhancing their work, encouraging engagement with IBFD, and contributing fresh perspectives to our platforms. We look forward to sharing knowledge and learning from these communities in return.”

Now Available in the GOALI Collection

The selection of IBFD’s publications are available within Research4Life’s ‘GOALI’ collection, which focuses on academic and peer–reviewed journals, publications and databases on law and social sciences. Institutions subscribed to Research4Life can now explore IBFD’s tax resources to strengthen research and policymaking efforts worldwide.

Looking ahead, IBFD remains committed to expanding the accessibility of specialized tax research and continuing to support initiatives that promote fair and effective tax policy. This partnership marks a significant milestone in IBFD’s efforts, and the organization looks forward to exploring further ways to enhance global tax education and research collaboration. Learn more at www.IBFD.org.

About IBFD

The International Bureau of Fiscal Documentation (IBFD) is a leading independent, non–profit organization specializing in tax research and education. With its high–quality research, training and information services, IBFD serves governments, international organizations, academia and the business sector in over 150 countries. www.ibfd.org

About Research4Life

Research4Life is a partnership of five UN agencies, WHO, FAO, UNEP, WIPO, ILO, Cornell and Yale Universities, the International Association of Scientific, Technical & Medical Publishers and over 200 international publishers. Research4Life‘s mission is to build an inclusive, diverse and equitable scholarly communications environment by delivering free or low–cost access and user–focused training and resources to researchers in low– and middle–income countries. https://www.research4life.org


GLOBENEWSWIRE (Distribution ID 9484344)

Le Royaume-Uni, les Pays-Bas, l’Égypte et l’Arabie saoudite semblent bien partis pour s’imposer dans un ordre mondial en pleine mutation

LONDRES, 28 mai 2025 (GLOBE NEWSWIRE) — L’indice GBCI (Global Business Complexity Index) étudie plus de 250 indicateurs de complexité dans 79 juridictions représentant 94 % du PIB mondial. La complexité mesurée par le rapport constitue un fardeau inutile pour les entreprises qui freine l’innovation locale et dissuade les investissements directs étrangers, sans apporter de bénéfice social évident. Le rapport a toujours révélé que les pays d’Europe du Sud et d’Amérique latine étaient les plus complexes en termes de réglementation des activités commerciales, et cela demeure une vérité en 2025. À l’autre extrémité de l’échelle, les endroits les moins complexes pour faire des affaires se trouvent généralement en Europe du Nord et dans plusieurs centres d’investissement offshore. Tous ces pays se font concurrence pour attirer les investissements en misant sur la facilité de réalisation des activités commerciales et ont adopté des exigences moins contraignantes, ainsi que des méthodes de gestion de ces exigences plus efficaces pour les entreprises.

Le rapport souligne que la complexité est relativement facile à gérer, du moins pour les grandes multinationales capables d’absorber le coût de la mise en conformité avec les règles locales. Ce qui est beaucoup plus difficile à gérer, c’est l’incertitude. Les sanctions imposées par les États–Unis, les mesures de confinement en Chine et le blocage du canal de Suez avaient déjà amorcé une transition de la mondialisation vers des chaînes d’approvisionnement plus diversifiées, les entreprises cherchant à réduire leur dépendance à l’égard d’un seul pays pour l’approvisionnement, la fabrication ou la vente de leurs produits. Une partie de la solution évoquée dans le rapport de l’année dernière était l’essor d’économies « connectées » telles que le Mexique, les Philippines et le Vietnam, qui jouent le rôle d’intermédiaires entre la Chine et les États–Unis dans le cadre de la stratégie dite « China Plus One ». Cette stratégie se heurte désormais aux droits de douane américains, qui sont fixés en fonction de l’excédent commercial d’un pays vis–à–vis des États–Unis et pénalisent donc les pays ayant un statut de « connecteur ».

Même si ces droits de douane diminuent, leur mise en place et leur évolution rapide indiquent un risque sous–jacent pour les entreprises qui font du commerce avec des pays affichant un excédent commercial élevé vis–à–vis des États–Unis. Le rapport met en exergue une baisse de la confiance dans la stabilité, la majorité des juridictions (55 %) déclarant donner la priorité à la diversification des corridors commerciaux. Il identifie un certain nombre de pays qui pourraient désormais émerger comme de nouveaux connecteurs : ceux–ci se caractérisent par un faible niveau de complexité, signe d’une réglementation favorable aux entreprises, un faible excédent commercial vis–à–vis des États–Unis, diminuant le risque de mesures de rétorsion, une taille et une sophistication économiques raisonnables permettant de soutenir une activité diversifiée à grande échelle et d’absorber les investissements sans peser lourdement sur l’excédent commercial vis–à–vis des États–Unis, ainsi qu’une position multipolaire qui devrait leur permettre de commercer avec différents blocs. Parmi ces pays figurent le Royaume–Uni et les Pays–Bas en Europe, l’Égypte et l’Arabie saoudite au Moyen–Orient, ainsi que l’Australie et Hong Kong en Asie–Pacifique.

Le rapport conclut enfin qu’en cette période de grande incertitude pour le commerce mondial, et en particulier pour les échanges avec les États–Unis, les gouvernements doivent s’efforcer de simplifier les conditions commerciales dans leur pays tout en cherchant à conclure des accords commerciaux entre différents blocs afin d’encourager les investissements croisés. Il souligne également que les entreprises devront diversifier davantage leurs chaînes d’approvisionnement. Cela augmentera leur complexité interne et leurs coûts. Dans le même temps, les entreprises peuvent se faciliter la tâche en simplifiant leurs modalités de gestion de ces chaînes d’approvisionnement, beaucoup d’entre elles ayant un nombre excessif d’entités juridiques pour leur périmètre géographique et un grand nombre de fournisseurs pour les aider à les gérer.

Mark Weil, PDG de TMF Group, a déclaré :

« Le véritable défi pour les entreprises aujourd’hui n’est pas la complexité, mais l’incertitude. Avec l’intensification des tensions commerciales, l’évolution du paysage géopolitique et l’imprévisibilité économique, les entreprises sont contraintes de prendre des décisions dans un environnement susceptible d’évoluer du jour au lendemain. Les droits de douane ne sont que le dernier signe en date des risques liés à la concentration des chaînes d’approvisionnement. Dans ce contexte, la diversification est une nécessité, même si elle a un coût. La bonne nouvelle, c’est que les entreprises peuvent compenser certaines des complexités liées à la diversification en réduisant leurs propres complexités internes. Notre analyse comparative révèle des différences marquées en matière de complexité structurelle entre des entreprises similaires. Nous y voyons une réelle opportunité : en simplifiant leurs structures et leurs modèles de soutien, par exemple en diminuant le nombre d’entités juridiques et en s’appuyant sur quelques partenaires mondiaux de confiance, les entreprises peuvent gagner en flexibilité. Bien menée, cette démarche pourrait améliorer l’efficacité et l’agilité des entreprises dans un monde en proie à l’incertitude. »

Interlocutrice auprès des médias
Marina Llibre Martin, Responsable mondiale des relations publiques
marina.llibremartin@tmf–group.com


GLOBENEWSWIRE (Distribution ID 1001099131)

Reino Unido, Holanda, Egito e Arábia Saudita estão entre os prováveis vencedores na ordem mundial em mudança

LONDRES, May 28, 2025 (GLOBE NEWSWIRE) — O Índice Global de Complexidade Empresarial (GBCI) estuda mais de 250 indicadores de complexidade em 79 jurisdições que representam 94% do PIB mundial. A complexidade que o relatório mede é um fardo de peso morto para as empresas que sufoca a inovação local e impede o investimento estrangeiro direto sem nenhum benefício social óbvio. O relatório mostrou consistentemente que os países do sul da Europa e da América Latina são os mais complexos para fazer negócios, e isso continua sendo verdade em 2025. No outro extremo da escala, os locais menos complexos para fazer negócios tendem a ser o norte da Europa e vários dos centros de investimento offshore. Todos eles competem por investimentos com base na facilidade de fazer negócios lá e adotaram requisitos menos onerosos, bem como maneiras mais eficientes para as empresas gerenciá–los.

O relatório observa que a complexidade é relativamente fácil de navegar, pelo menos para multinacionais maiores capazes de absorver o custo de cumprir as regras locais. O que é muito mais difícil de lidar é a incerteza. As sanções lideradas pelos Estados Unidos, os bloqueios na China e o bloqueio de Suez já haviam iniciado uma mudança na globalização em direção a cadeias de suprimentos mais diversificadas, com as empresas buscando reduzir sua dependência de países individuais para adquirir, construir ou vender seus produtos. Uma parte dessa solução observada no relatório do ano passado foi a ascensão de economias conectoras, como México, Filipinas e Vietnã, unindo o comércio entre a China e os EUA na chamada estratégia “China mais um”. Essa estratégia agora entrou em conflito com as tarifas dos EUA, definidas para refletir o superávit comercial de um país em mercadorias com os EUA e, portanto, punindo os países com status de conector.

Mesmo que as tarifas diminuam, seu lançamento e mudanças rápidas apontam para um risco subjacente para empresas que negociam em países com alto superávit comercial nos EUA. O relatório observa uma queda na confiança na estabilidade, com a maioria das jurisdições (55%) relatando priorização da diversidade do corredor comercial. Ele identifica vários países que podem emergir agora como os novos conectores, com baixos níveis de complexidade que apontam para regras favoráveis aos negócios, um baixo superávit comercial dos EUA que aponta para uma menor probabilidade de ação retaliatória, um tamanho e uma sofisticação razoáveis da economia para apoiar uma variedade de atividades em escala e absorver investimentos sem se inclinar fortemente para o superávit comercial dos EUA, e uma postura multipolar que deve permitir que eles comercializem em diferentes blocos. Esses países incluem o Reino Unido e a Holanda na Europa, Egito e Arábia Saudita no Oriente Médio e Austrália e Hong Kong na Ásia–Pacífico.

Por fim, o relatório observa que, em um momento de grande incerteza para o comércio global — e, em particular, para o comércio com os EUA — os governos devem se concentrar em tornar seus países menos complexos para fazer negócios e, ao mesmo tempo, buscar acordos comerciais entre diferentes blocos para incentivar o investimento cruzado. Ele também observa que as empresas precisarão diversificar ainda mais suas cadeias de suprimentos. Isso aumentará sua complexidade interna e seus custos. Ao mesmo tempo, as empresas podem se ajudar simplificando seus arranjos para gerenciar essas cadeias de suprimentos, pois muitas delas têm um número excessivo de entidades jurídicas para seu escopo geográfico, além de muitos fornecedores para ajudar a gerenciá–las.

Mark Weil, CEO da TMF Group, disse:

“O verdadeiro desafio para as empresas hoje não é a complexidade, é a incerteza. Com o aumento das tensões comerciais, um cenário geopolítico instável e a imprevisibilidade econômica, as empresas são forçadas a tomar decisões em um ambiente que pode mudar da noite para o dia. As tarifas são apenas o sinal mais recente dos riscos da concentração da cadeia de suprimentos. A diversificação é uma necessidade nesse contexto, embora tenha um custo. A boa notícia é que as empresas podem compensar algumas das complexidades da diversificação reduzindo suas próprias complexidades internas. Nosso benchmarking revela diferenças marcantes na complexidade estrutural entre empresas semelhantes. Vemos uma oportunidade aqui: ao simplificar suas estruturas e modelos de suporte, por exemplo, tendo menos entidades jurídicas e alguns parceiros globais confiáveis, as empresas podem ganhar flexibilidade. Se feito corretamente, isso pode melhorar a eficiência e a agilidade à medida que as empresas navegam em um mundo incerto.”

Contatos de mídia
Marina Llibre Martin, Gerente Global de RP
marina.llibremartin@tmf–group.com


GLOBENEWSWIRE (Distribution ID 1001099131)

Das Vereinigte Königreich, die Niederlande, Ägypten und Saudi-Arabien gehören zu den wahrscheinlichen Gewinnern in der sich verändernden Weltordnung

LONDON, May 28, 2025 (GLOBE NEWSWIRE) — Der Global Business Complexity Index (GBCI) untersucht über 250 Komplexitätsindikatoren in 79 Ländern, die 94 % des weltweiten BIP repräsentieren. Die in dem Bericht gemessene Komplexität stellt eine Belastung für die Wirtschaft dar, die lokale Innovationen erstickt und ausländische Direktinvestitionen abschreckt, ohne dass ein offensichtlicher gesellschaftlicher Nutzen erkennbar ist. Der Bericht hat immer wieder gezeigt, dass die Länder Südeuropas und Lateinamerikas die komplexesten Wirtschaftsstandorte sind, und dies ist auch im Jahr 2025 der Fall. Am anderen Ende der Skala befinden sich Nordeuropa und einige Offshore–Investitionszentren – dies sind die am wenigsten komplexen Standorte für Unternehmen. Sie alle konkurrieren um Investitionen auf der Grundlage der Einfachheit, mit der Geschäfte getätigt werden können, und haben weniger strenge Anforderungen sowie effizientere Möglichkeiten für Unternehmen eingeführt, diese zu bewältigen.

Der Bericht stellt fest, dass die Komplexität relativ leicht zu bewältigen ist, zumindest für größere multinationale Unternehmen, die in der Lage sind, die Kosten für die Einhaltung der lokalen Vorschriften zu tragen. Weitaus schwieriger ist der Umgang mit der Unsicherheit. Die von den USA verhängten Sanktionen, die Lockdowns in China und die Blockade des Suezkanals haben bereits eine Verlagerung der Globalisierung hin zu stärker diversifizierten Lieferketten eingeleitet, wobei Unternehmen versuchen, ihre Abhängigkeit von einzelnen Ländern bei der Beschaffung, der Herstellung oder dem Verkauf ihrer Produkte zu verringern. Ein Teil dieser Lösung, der im letztjährigen Bericht erwähnt wurde, ist der Aufstieg von Verbindungsländern wie Mexiko, den Philippinen und Vietnam, die im Rahmen der sogenannten „China plus Eins“–Strategie Brücken im Handel zwischen China und den USA bilden. Diese Strategie ist nun mit den US–Zöllen in Konflikt geraten, die den Handelsüberschuss eines Landes mit den USA widerspiegeln und so Verbindungsstatus bestrafen.

Selbst wenn die Zölle sinken, deuten ihre Einführung und ihre raschen Änderungen auf ein grundlegendes Risiko für Unternehmen aus Ländern mit einem hohen US–Handelsüberschuss hin. Der Bericht stellt einen Rückgang des Vertrauens in die Stabilität fest, wobei die Mehrheit der Länder (55 %) angibt, der Diversifizierung der Handelskorridore Priorität einzuräumen. Er identifiziert eine Reihe von Ländern, die sich nun als neue Verbindungsländer herauskristallisieren könnten – mit einem geringen Komplexitätsgrad, der auf wirtschaftsfreundliche Regeln hindeutet, einem niedrigen US–Handelsüberschuss, der auf weniger wahrscheinliche Vergeltungsmaßnahmen hindeutet, einer angemessenen Größe und Komplexität der Wirtschaft, die eine Vielzahl von Aktivitäten in großem Maßstab unterstützt und Investitionen absorbiert, ohne den US–Handelsüberschuss stark zu beeinträchtigen, und einer multipolaren Ausrichtung, die ihnen blockübergreifenden Handel ermöglichen sollte. Zu diesen Ländern zählen das Vereinigte Königreich und die Niederlande in Europa, Ägypten und Saudi–Arabien im Nahen Osten sowie Australien und Hongkong im asiatisch–pazifischen Raum.

Der Bericht stellt abschließend fest, dass sich Regierungen in einer Zeit großer Unsicherheit für den Welthandel – und insbesondere für den Handel mit den USA – darauf konzentrieren sollten, die Komplexität der Geschäftstätigkeit in ihren Ländern zu verringern und gleichzeitig Handelsabkommen zwischen verschiedenen Blöcken anzustreben, um gegenseitige Investitionen zu fördern. Darüber hinaus wird darauf hingewiesen, dass Unternehmen ihre Lieferketten weiter diversifizieren müssen. Dies wird ihre interne Komplexität und ihre Kosten erhöhen. Gleichzeitig können sich Unternehmen selbst helfen, indem sie ihre Regelungen zur Verwaltung dieser Lieferketten vereinfachen. Viele Unternehmen haben im Verhältnis zu ihrer geografischen Reichweite eine übermäßige Anzahl an Rechtssubjekten und zahlreiche Auftragnehmer, die bei ihrer Verwaltung helfen.

Mark Weil, CEO der TMF Group:

„Die wahre Herausforderung für Unternehmen ist heute nicht die Komplexität, sondern die Unsicherheit. Angesichts zunehmender Handelsspannungen, einer sich verändernden geopolitischen Landschaft und wirtschaftlicher Unberechenbarkeit sind Unternehmen gezwungen, Entscheidungen in einem Umfeld zu treffen, das sich über Nacht ändern kann. Zölle sind nur das jüngste Beispiel für die Risiken konzentrierter Lieferketten. Diversifizierung ist in diesem Zusammenhang notwendig, allerdings mit Kosten verbunden. Die gute Nachricht ist, dass Unternehmen einen Teil der Komplexität der Diversifizierung durch die Reduzierung ihrer internen Komplexitäten ausgleichen können. Unser Benchmarking zeigt deutliche Unterschiede in der strukturellen Komplexität zwischen ähnlichen Unternehmen. Wir sehen hier eine Chance: Durch die Vereinfachung ihrer Strukturen und Supportmodelle – beispielsweise durch weniger Rechtssubjekte und wenige vertrauenswürdige globale Partner – können Unternehmen an Flexibilität gewinnen. Richtig umgesetzt, kann dies die Effizienz und Agilität von Unternehmen in einer unsicheren Welt verbessern. “

Medienkontakte
Marina Llibre Martin, Global PR Manager
marina.llibremartin@tmf–group.com


GLOBENEWSWIRE (Distribution ID 1001099131)

The UK, the Netherlands, Egypt and Saudi Arabia among likely winners in the changing world order

LONDON, May 28, 2025 (GLOBE NEWSWIRE) — The Global Business Complexity Index (GBCI) studies over 250 indicators of complexity in 79 jurisdictions that represent 94% of the world's GDP. The complexity that the report measures is a dead–weight burden on business that stifles local innovation and deters foreign direct investment with no obvious societal benefit. The report has consistently shown that countries in Southern Europe and Latin America are the most complex for doing business and that continues to be true in 2025. At the other end of the scale, the least complex places to do business tend to be in Northern Europe and several of the offshore investment hubs. These all compete for investment on the basis of the ease of doing business there and have adopted less onerous requirements, as well as more efficient ways for firms to manage them.

The report notes that complexity is relatively straightforward to navigate, at least for larger multinationals able to absorb the cost of complying with local rules. What is much harder to deal with is uncertainty. US–led sanctions, lockdowns in China and the Suez blockage had already begun a shift in globalisation towards more diversified supply chains, with companies seeking to reduce their reliance on single countries for sourcing, building or selling their products. A part of that solution noted in last year’s report was the rise of connector economies like Mexico, Philippines and Vietnam, bridging trade between China and the US in the so–called ‘China plus one’ strategy. That strategy has now fallen foul of US tariffs, set to reflect a country’s trade surplus in goods with the US and so punishing countries with connector status.

Even if tariffs abate, their launch and rapid shifts point to an underlying risk for companies trading from countries with a high US trade surplus. The report notes a drop in confidence in stability, with the majority of jurisdictions (55%) reporting prioritisation of trade corridor diversity. It identifies a number of countries that might now emerge as the new connectors — with low levels of complexity pointing to business–friendly rules, a low US trade surplus pointing to less likely retaliatory action, a reasonable size and sophistication of economy to support a variety of activity at scale and absorb investment without tipping heavily into US trade surplus, and a multipolar stance that should allow them to trade across different blocs. Those countries include the UK and the Netherlands in Europe, Egypt and Saudi Arabia in the Middle East and Australia and Hong Kong in Asia Pacific.

The report finally notes that at a time of great uncertainty for global trade — and in particular, trade with the US — governments should focus on making their countries less complex places to do business whilst seeking trade agreements across different blocs to encourage cross–investment. It also notes that companies will need to further diversify their supply chains. That will add to their internal complexity and costs. At the same time, companies can help themselves by simplifying their arrangements for managing those supply chains, with many having excessive numbers of legal entities for their geographic scope along with large numbers of suppliers to help manage them.

TMF Group’s CEO Mark Weil, said:

“The real challenge for businesses today isn’t complexity, it’s uncertainty. With rising trade tensions, a shifting geopolitical landscape and economic unpredictability, companies are forced to make decisions in an environment that can change overnight. Tariffs are just the latest signal of the risks of supply chain concentration. Diversification is a necessity in this context, although it comes with a cost. The good news is that businesses can offset some of the complexities of diversification by reducing their own internal intricacies. Our benchmarking reveals stark differences in structural complexity among similar firms. We see an opportunity here: by simplifying their structures and support models — for example, by having fewer legal entities and a few trusted global partners — businesses can gain flexibility. Done right, this can improve efficiency and agility as firms navigate an uncertain world.”

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GLOBENEWSWIRE (Distribution ID 1001099131)

CGTN : la recette chinoise d’une bonne base de développement économique 2025

PÉKIN, 03 mars 2025 (GLOBE NEWSWIRE) — CGTN publie un article détaillant comment la Chine a anticipé sa croissance économique 2025 moyennant une série de mesures de relance ciblées et de cadrages d’ordre politique de haut niveau.

En vertu de nombreux indicateurs, l’économie chinoise a connu une remarquable progression depuis septembre 2024, dont la solide performance de son PIB au quatrième trimestre 2024, pointant un robuste démarrage en 2025.

Cet essor, qui s’est prolongé pendant le Nouvel An chinois, a été nourri par une série de mesures de relance et de conceptions politiques de niveau supérieur visant à relever les enjeux structurels de l’économie du pays et à instaurer de nouveaux moteurs de croissance économique.

Cependant, cette évolution prend forme dans un contexte de vents contraires grandissants, à l’heure où la pleine transformation de l’environnement mondial fait s’intensifier les pressions qui s’exercent sur la stabilité économique de la Chine.

Alors que s’accentuent les effets négatifs de ce virage, l’économie chinoise fait encore face à nombre de difficultés et d’enjeux, commente le Président chinois Xi Jinping dans un article.

Selon cet article publié ce samedi dans le journal Qiushi, l’économie chinoise repose en parallèle sur un équilibre stable, une abondance de points forts, une grande résilience et un immense potentiel, et ni les conditions de soutien ni la tendance fondamentalement orientée vers la croissance à long terme ne s’effritent.

Manœuvrer entre ces deux réalités — et donc nuancer les risques externes à l’appui d’opportunités nationales — est au cœur de la stratégie 2025 de la Chine, d’autant qu’en plus de célébrer cette année l’aboutissement de son 14ᵉ Plan quinquennal (2021–2025), un plan stratégique ayant servi de cadre pour atteindre un développement supérieur, promouvoir l’innovation technologique et encourager des réformes économiques durables, le pays prépare également le lancement de son 15ᵉ Plan quinquennal (2026–2030), qui donnera le ton à la prochaine phase de sa croissance face à des enjeux mondiaux et nationaux en constante évolution.

Harmoniser l’efficacité du marché via une gouvernance proactive
Dans son article, le Président chinois a souligné l’importance cruciale du lien entre l’efficacité du marché et celle du Gouvernement, et a précisé que lorsque la situation l’imposait, le gouvernement devait agir fermement mais aussi savoir s’abstenir de toute intervention.

Les récentes mesures politiques de la Chine font écho à ce cap. En janvier, la National Development and Reform Commission (ou NDRC, la Commission nationale de développement et de réforme), principale agence de gestion économique de la Chine, a publié une ligne directrice pour la construction d’un marché national unifié, visant à encourager l’ensemble des collectivités locales et des agences gouvernementales à accélérer leur intégration dans le marché national unifié et à accompagner activement son développement.

Cette ligne directrice devrait contribuer à réduire les frais de transaction sur le marché, favoriser un environnement propice à l’innovation technologique et au développement des entreprises, tout en renforçant ses avantages concurrentiels.

De telles réformes structurelles s’alignent sur un consensus croissant parmi les économistes, selon lequel le développement économique de la Chine repose sur la promotion de l’innovation et de la productivité plutôt que sur des solutions à court terme — un mouvement qui se traduit par l’initiative du marché unifié, axée sur une efficacité méthodique.

Dans un article publié sur CGTN, Matteo Giovannini, un professionnel de la finance de la Banque industrielle et commerciale de Chine et chercheur associé non résident au Center for China and Globalization (le Centre pour la Chine et la mondialisation) écrit que « La déréglementation des secteurs clés, l’encouragement de la participation du secteur privé et l’attraction d’investissements étrangers vers les secteurs de la haute technologie et de l’énergie verte seront des atouts essentiels à la conduite de cette transformation. 

Rétablir la confiance des entreprises privées constituera un autre point d’orgue, étant donné qu’elles incarnent les moteurs essentiels de la création d’emplois, de l’avancement technologique et du dynamisme économique. »

« Résilientes et adaptables »
C’est ainsi que le Président Xi Jinping caractérise d’autres notions clés dans son article paru dans Qiushi, notamment le rapport entre l’offre totale et la demande pour garantir une circulation économique fluide, ce qui fait majoritairement écho aux principales tâches définies par la Central Economic Work Conference (la Conférence centrale du travail économique) qui s’est tenue en décembre 2024.

Outre leur spectaculaire effet rebond sur l’économie chinoise, ces tâches ont également établi un socle positif à la trajectoire 2025 du pays. Les experts ont souligné l’adaptabilité et la résilience de l’économie chinoise, et exprimé leur optimisme à l’issue de la Central Economic Work Conference.

« Il est rare qu’une économie comme celle de la Chine, déjà en phase de développement supérieur et en proie aux enjeux actuels de l’économie mondiale, parvienne à maintenir une croissance annuelle de son PIB à l’équilibre » observe Michael Borchmann, ancien responsable du Département des affaires européennes et internationales du Land allemand de La Hesse.

Les données officielles montrent que le PIB 2024 de la Chine a enregistré une hausse de 5 % par rapport à 2023 pour afficher 134 900 milliards de yuans (soit 187 700 milliards de dollars).

« Cette progression montre à la fois que l’économie chinoise est extrêmement résiliente et adaptable, mais également que le développement régulier de la demande intérieure et les résultats de la transformation industrielle sont bien en marche. » ajoute–t–il.

https://news.cgtn.com/news/2025–03–01/How–did–China–lay–a–good–foundation–for–2025–economic–development—1BnOlAz4mti/p.html


GLOBENEWSWIRE (Distribution ID 9387914)

CGTN: Wie hat China eine gute Grundlage für die wirtschaftliche Entwicklung bis 2025 geschaffen?

PEKING, March 03, 2025 (GLOBE NEWSWIRE) — CGTN hat einen Artikel veröffentlicht, in dem detailliert beschrieben wird, wie China sich durch eine Kombination aus gezielten Konjunkturmaßnahmen und politischen Rahmenbedingungen auf hoher Ebene auf das Wirtschaftswachstum im Jahr 2025 vorbereitet hat.

Chinas Wirtschaft hat seit September letzten Jahres einen bemerkenswerten Aufschwung erlebt, wobei mehrere Daten, wie z. B. eine starke BIP–Leistung im vierten Quartal, auf einen robusten Start ins Jahr 2025 hindeuten.

Diese Dynamik, die sich bis zum chinesischen Neujahrsfest fortsetzte, wurde durch eine Reihe von Konjunkturmaßnahmen und politischen Konzepten auf hoher Ebene angetrieben, die darauf abzielten, die strukturellen Herausforderungen innerhalb der chinesischen Wirtschaft anzugehen und neue Motoren für das Wirtschaftswachstum zu schaffen.

Allerdings tut sich dies vor dem Hintergrund zunehmender Gegenwinde auf, da eine sich verändernde globale Landschaft den Druck auf die wirtschaftliche Stabilität Chinas verstärkt.

Während die negativen Auswirkungen der sich verändernden äußeren Umgebung zunehmen, steht Chinas Wirtschaftsbetrieb immer noch vor Schwierigkeiten und Herausforderungen, schrieb der chinesische Präsident Xi Jinping in einem Artikel.

Gleichzeitig wird die chinesische Wirtschaft durch ein stabiles Fundament, zahlreiche Stärken, eine starke Widerstandsfähigkeit und ein enormes Potenzial gestützt, und die unterstützenden Bedingungen und der grundlegende Trend für langfristiges Wachstum haben sich laut dem Artikel, der am Samstag im Qiushi Journal veröffentlicht wurde, nicht geändert.

Die Bewältigung dieser beiden Realitäten – das Gleichgewicht zwischen externen Risiken und inländischen Chancen – steht im Mittelpunkt der chinesischen Strategie 2025, insbesondere da dieses Jahr nicht nur den Höhepunkt des 14. Fünfjahresplans (2021–2025) markiert – ein strategischer Plan, der die Bemühungen der Nation um eine qualitativ hochwertige Entwicklung, die Förderung technologischer Innovationen und nachhaltige Wirtschaftsreformen zu fördern – sondern auch den Grundstein für den Start des 15. Fünfjahresplans (2026–2030) legt, der Chinas nächste Wachstumsphase inmitten sich wandelnder globaler und nationaler Herausforderungen prägen wird.

Markteffizienz und proaktive Regierungsführung in Einklang bringen
In seinem Artikel betonte Xi, dass es von entscheidender Bedeutung sei, das Verhältnis zwischen einem effizienten Markt und einer gut funktionierenden Regierung zu koordinieren. Die Regierung müsse entschlossen handeln, wenn dies erforderlich sei, und gleichzeitig wissen, wann sie von einem Eingreifen absehen müsse.

Die jüngsten politischen Schritte Chinas sind ein Beispiel für diesen Fokus. Im Januar veröffentlichte die Nationale Entwicklungs– und Reformkommission (National Development and Reform Commission, NDRC), Chinas oberste Wirtschaftsplanungsbehörde, eine Richtlinie für den Aufbau eines einheitlichen nationalen Marktes, die alle lokalen Behörden und Regierungsstellen dazu ermutigen soll, ihre Integration in den einheitlichen nationalen Markt zu beschleunigen und dessen Entwicklung aktiv zu unterstützen.

Diese Richtlinie soll dazu beitragen, die Transaktionskosten auf dem Markt zu senken, ein günstiges Marktumfeld für technologische Innovationen und die Geschäftsentwicklung zu schaffen und Wettbewerbsvorteile zu stärken.

Solche Strukturreformen entsprechen einem wachsenden Konsens unter Ökonomen, dass Chinas wirtschaftliche Entwicklung von der Förderung von Innovation und Produktivität abhängt und nicht von kurzfristigen Lösungen – eine Verschiebung, die durch den Fokus der einheitlichen Marktinitiative auf systemische Effizienz veranschaulicht wird.

„Die Deregulierung von Schlüsselbranchen, die Förderung der Beteiligung des Privatsektors und die Gewinnung ausländischer Investitionen in den Bereichen Hightech und grüne Energie werden maßgeblich zu diesem Wandel beitragen“, schrieb Matteo Giovannini, Finanzfachmann bei der Industrial and Commercial Bank of China und Non–Resident Associate Fellow am Center for China and Globalization, in einem auf CGTN veröffentlichten Meinungsbeitrag. 

„Die Wiederherstellung des Vertrauens zwischen Privatunternehmen wird ebenfalls von entscheidender Bedeutung sein, da diese Unternehmen die wichtigsten Motoren für die Schaffung von Arbeitsplätzen, den technologischen Fortschritt und die wirtschaftliche Dynamik sind.“

„Widerstandsfähig und anpassungsfähig“
Xis Artikel über Qiushi befasste sich auch mit anderen wichtigen Punkten, darunter das Verhältnis zwischen Gesamtangebot und –nachfrage zur Gewährleistung eines reibungslosen Wirtschaftskreislaufs, was weitgehend die Hauptaufgaben widerspiegelte, die auf der tonangebenden Zentralen Konferenz für Wirtschaftsarbeit im Dezember letzten Jahres festgelegt wurden.

Diese Aufgaben führten nicht nur zu einer dramatischen Erholung der chinesischen Wirtschaft, sondern legten auch eine positive Grundlage für die Entwicklung bis 2025. Experten haben auf die Anpassungsfähigkeit und Widerstandsfähigkeit hingewiesen, die in der chinesischen Wirtschaft verwurzelt sind, und sich nach der Zentralen Wirtschaftskonferenz optimistisch geäußert.

Angesichts der aktuellen Herausforderungen, mit denen die Weltwirtschaft konfrontiert ist, ist es für eine Wirtschaft wie die Chinas, die sich bereits in einer Phase hochwertiger Entwicklung befindet, selten, ein jährliches BIP–Wachstum aufrechtzuerhalten, das dem Ziel entspricht, so Michael Borchmann, ehemaliger Leiter der Abteilung für europäische und internationale Angelegenheiten des Bundeslandes Hessen.

Offizielle Daten zeigen, dass Chinas BIP im Jahr 2024 im Vergleich zu 2023 um 5 Prozent gestiegen ist und 134,9 Bio. CNY (18,77 Bio. USD) übersteigt.

„Dies zeigt nicht nur, dass die chinesische Wirtschaft äußerst widerstandsfähig und anpassungsfähig ist, sondern spiegelt auch die stetige Ausweitung der Binnennachfrage und die Ergebnisse des industriellen Wandels wider“, sagte er.

https://news.cgtn.com/news/2025–03–01/How–did–China–lay–a–good–foundation–for–2025–economic–development—1BnOlAz4mti/p.html


GLOBENEWSWIRE (Distribution ID 9387914)

CGTN: Como a China estabeleceu uma boa base para o desenvolvimento econômico em 2025

PEQUIM, March 03, 2025 (GLOBE NEWSWIRE) — A CGTN publicou um artigo detalhando como a China se preparou para o crescimento econômico em 2025 por meio de uma combinação de medidas de estímulo direcionadas e estruturas políticas de alto nível.

A economia da China tem apresentado um crescimento notável desde setembro do ano passado de acordo com várias medições, tais como forte desempenho do PIB no quarto trimestre, indicando um início robusto de 2025.

Esse impulso, que se estendeu até o Ano Novo Chinês, foi impulsionado por uma série de medidas de estímulo e projetos de políticas de alto nível que visaram enfrentar os desafios estruturais da economia chinesa e criar novos incentivos para o crescimento econômico.

Isto acontece diante de um cenário de intensificação dos ventos contrários, com um cenário global em mudança amplificando as pressões na estabilidade econômica da China.

Com a intensificação dos impactos adversos do ambiente externo nas mudanças internas, a economia da China continua a enfrentar dificuldades e desafios, disse o presidente chinês Xi Jinping em um artigo.

No entanto, a economia chinesa é sustentada por uma base estável, forças abundantes, forte resiliência e vasto potencial, e as condições de apoio e a tendência fundamental para o crescimento de longo prazo não mudaram, de acordo com o artigo, publicado no Qiushi Journal no sábado.

O equilíbrio entre essas duas realidades — riscos externos e oportunidades domésticas — é o foco da estratégia da China para 2025, especialmente porque este ano além de marcar o ponto culminante do 14º Plano Quinquenal (2021–2025) — um plano estratégico que orientou os esforços do país para alcançar desenvolvimento de alta qualidade, promover a inovação tecnológica e promover reformas econômicas sustentáveis — também prepara o terreno para o lançamento do 15º Plano Quinquenal (2026–2030), que moldará a próxima fase de crescimento da China em meio à evolução dos desafios globais e domésticos.

Equilíbrio entre a eficiência do mercado e uma governança proativa
Em seu artigo, Xi enfatizou que é essencial coordenar a relação entre um mercado eficiente e um governo que funcione bem, e o governo deve agir decisivamente e se abster de intervir quando necessário.

As recentes medidas políticas da China exemplificam esse foco. Em janeiro, a Comissão Nacional de Desenvolvimento e Reforma (CNDR), o principal planejador econômico da China, divulgou uma diretriz para a criação de um mercado nacional unificado, com o objetivo de incentivar todas as localidades e departamentos governamentais a acelerar sua integração no mercado nacional unificado e apoiar ativamente seu desenvolvimento.

Essa diretriz deve ajudar a reduzir os custos das transações no mercado, criar um ambiente de mercado favorável à inovação tecnológica e ao desenvolvimento de negócios, e fortalecer as vantagens competitivas.

Essas reformas estruturais se alinham a um consenso crescente entre os economistas de que a evolução econômica da China depende da promoção da inovação e da produtividade em detrimento das correções de curto prazo — uma mudança exemplificada pelo foco da iniciativa de mercado unificado na eficiência sistêmica.

“A desregulamentação das principais indústrias, o incentivo à participação do setor privado, e a atração de investimentos estrangeiros em setores de alta tecnologia e energia verde serão fundamentais para impulsionar essa transformação”, disse Matteo Giovannini, profissional de finanças do Banco Industrial e Comercial da China e membro associado não residente do Centro para a China e a Globalização, em um artigo publicado na CGTN. 

“Também é fundamental restaurar a confiança entre as empresas privadas pois essas empresas são os principais incentivos para criação de empregos, avanço tecnológico e dinamismo econômico.”

'Resiliente e adaptável'
O artigo de Xi no Qiushi também abordou outros pontos principais, como a relação entre a oferta e a demanda para garantir uma circulação econômica tranquila, o que em grande parte refletiu as principais tarefas delineadas pela Conferência Central de Trabalho Econômico realizada em dezembro do ano passado.

Essas tarefas, além de impulsionar uma recuperação dramática para a economia chinesa, também estabeleceram uma base positiva para sua trajetória em 2025. Experts apontaram a adaptabilidade e a resiliência enraizadas na economia da China, expressando otimismo após a Conferência Central de Trabalho Econômico.

Em meio aos desafios atuais da economia global, é raro uma economia como a da China, que já está em um estágio de desenvolvimento de alta qualidade, sustentar um crescimento anual do PIB que atenda à meta, disse Michael Borchmann, ex–chefe do Departamento de Assuntos Europeus e Internacionais do estado federal alemão de Hesse.

Dados oficiais indicam que o PIB da China em 2024 aumentou 5% em relação a 2023, superando 134,9 trilhões de yuans (US $ 18,77 trilhões).

“Isso não só mostra que a economia chinesa é extremamente resiliente e adaptável, mas também reflete a expansão constante da demanda doméstica e os resultados da transformação industrial”, disse ele.

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CGTN: كيف وضعت الصين أساسًا جيدًا للتنمية الاقتصادية لعام 2025

بكين, March 03, 2025 (GLOBE NEWSWIRE) —

نشرت شبكة CGTN مقالاً يوضح كيفية استعداد الصين للنمو الاقتصادي في 2025 عبر مجموعة من إجراءات التحفيز الموجهة وأطر السياسات رفيعة المستوى.

شهد الاقتصاد الصيني انتعاشًا ملحوظًا منذ سبتمبر الماضي، وتشير بيانات عديدة، بما في ذلك الأداء القوي للناتج المحلي الإجمالي في الربع الأخير، إلى بداية قوية لعام 2025.

كان هذا الزخم، الذي امتد خلال العام الصيني الجديد، مدفوعًا بسلسلة من إجراءات التحفيز وتصاميم السياسات رفيعة المستوى التي هدفت إلى معالجة التحديات الهيكلية في الاقتصاد الصيني وتوليد محركات جديدة للنمو الاقتصادي.

ومع ذلك، يأتي هذا النمو في ظل تحديات متزايدة، حيث يؤدي تغير المشهد العالمي إلى تفاقم الضغوط على استقرار الاقتصاد الصيني.

كتب الرئيس الصيني Xi Jinping في مقال، أن الاقتصاد الصيني لا يزال يواجه صعوبات وتحديات مع تزايد الآثار السلبية الناجمة عن تغير البيئة الخارجية.

تزامنًا مع ذلك، يتمتع الاقتصاد الصيني بأساس متين، ونقاط قوة وفيرة، ومرونة عالية، وإمكانات هائلة، ولم يطرأ تغيير على الظروف الداعمة والاتجاه الأساسي للنمو طويل الأجل، وفقًا لما جاء في المقال الذي نُشِر في مجلة Qiushi يوم السبت.

يتمثل جوهر استراتيجية الصين لعام 2025 في تحقيق التوازن بين هذين الواقعين المتناقضين — التوازن بين المخاطر الخارجية والفرص المحلية — خاصةً وأن هذا العام لا يمثل فقط تتويجًا للخطة الخمسية الرابعة عشرة (2021–2025) — وهي خطة إستراتيجية وجهت جهود الأمة لتحقيق تنمية عالية الجودة، وتعزيز الابتكار التكنولوجي، وتعزيز الإصلاحات الاقتصادية المستدامة — ولكنه يمهد أيضًا الطريق لإطلاق الخطة الخمسية الخامسة عشرة (2026–2030)، التي ستشكل المرحلة التالية من النمو في الصين وسط التحديات العالمية والمحلية المتطورة.

المواءمة بين كفاءة السوق والحوكمة الاستباقية
شدد Xi في مقالته، على ضرورة موازنة العلاقة بين السوق الفعالة والحكومة ذات الأداء الجيد، مؤكدًا أنه يجب على الحكومة أن تتخذ إجراءات حاسمة عند الحاجة مع معرفة الوقت المناسب لعدم التدخل.

لقد أبرزت التحركات السياسية الأخيرة التي اتخذتها الصين هذا التركيز. في يناير، أصدرت اللجنة الوطنية للتنمية والإصلاح (NDRC)، وهي الجهة الرئيسية للتخطيط الاقتصادي في الصين، إرشادات لتأسيس سوق وطنية موحدة، بهدف تشجيع جميع المناطق والإدارات الحكومية على تسريع عملية انضمامها إلى السوق الوطنية الموحدة ودعم تنميتها بفاعلية.

من المتوقع أن تساعد هذه الإرشادات على خفض تكاليف المعاملات في السوق، وتوفير بيئة سوقية موائمة للابتكار التكنولوجي وتطوير الأعمال، وتعزيز المزايا التنافسية.

تتماشى هذه الإصلاحات الهيكلية مع التوافق المتزايد بين خبراء الاقتصاد على أن التطور الاقتصادي للصين يعتمد على تعزيز الابتكار والإنتاجية بدلاً من الحلول قصيرة الأجل — وهو تحول يتجسد في تركيز مبادرة السوق الموحدة على الكفاءة الشاملة.

كتب Matteo Giovannini، وهو خبير مالي في البنك الصناعي والتجاري الصيني وزميل مشارك غير مقيم في مركز الصين والعولمة، مقال نُشر في عمود الرأي على شبكة CGTN، “إن إلغاء القيود التنظيمية عن الصناعات الرئيسية، وتشجيع مشاركة القطاع الخاص، وجذب الاستثمار الأجنبي في قطاعي التكنولوجيا المتقدمة والطاقة الخضراء، سيكون له دور فعال في دفع هذا التحول”. 

“إن استعادة الثقة بين شركات القطاع الخاص سيكون أمرًا بالغ الأهمية أيضًا، لأن هذه الشركات هي المحركات الأساسية لتوليد فرص العمل، والتقدم التكنولوجي والديناميكية الاقتصادية”.

“المرونة والقدرة على التكيف”
تناول مقال Xi في مجلة Qiushi أيضًا نقاطًا رئيسية أخرى، بما في ذلك العلاقة بين إجمالي العرض والطلب لضمان سلاسة التداول الاقتصادي، الذي يعكس إلى حد كبير المهام الرئيسية التي حددها مؤتمر العمل الاقتصادي المركزي الذي عُقِد في ديسمبر من العام الماضي.

لم تساهم تلك المهام فقط في تحقيق انتعاش ملحوظ للاقتصاد الصيني، بل أسهمت أيضًا في وضع أساس إيجابي لمساره في عام 2025. وقد أشار الخبراء إلى القدرة على التكيف والمرونة التي يتمتع بها الاقتصاد الصيني، معربين عن تفاؤلهم عقب مؤتمر العمل الاقتصادي المركزي.

وصرح Michael Borchmann، الرئيس السابق لإدارة الشؤون الأوروبية والدولية في ولاية هيسن الألمانية الاتحادية، “في ظل التحديات الحالية التي يواجهها الاقتصاد العالمي، من النادر أن يحافظ اقتصاد مثل اقتصاد الصين، الذي بلغ بالفعل مرحلة التنمية عالية الجودة، على نمو سنوي للناتج المحلي الإجمالي يفي بالهدف المحدد.

تشير البيانات الرسمية إلى أن الناتج المحلي الإجمالي للصين شهد زيادة في عام 2024 بنسبة 5% مقارنةً بعام 2023، متجاوزًا 134.9 تريليون يوان (18.77 تريليون دولار).

كما أضاف، “هذا لا يعكس فقط فقط مدى مرونة الاقتصاد الصيني وقدرته على التكيف، بل يبرز أيضًا التوسع المستمر للطلب المحلي ونتائج التحول في القطاع الصناعي”.

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CGTN: How did China lay a good foundation for 2025 economic development

BEIJING, March 02, 2025 (GLOBE NEWSWIRE) — CGTN publishes an article detailing how China prepared itself for economic growth in 2025 through a combination of targeted stimulus measures and high–level policy frameworks.

China's economy has shown a remarkable surge since September last year, with multiple data, such as a strong GDP performance in the fourth quarter, indicating a robust start for 2025.

This momentum, extending through the Chinese New Year, was driven by a series of stimulus measures and top–tier policy designs that aimed at tackling the structural challenges within the Chinese economy and creating new engines for economic growth.

However, it unfolds against a backdrop of intensifying headwinds, as a shifting global landscape amplifies pressures on China's economic stability.

As adverse impacts from the changing external environment intensify, China's economic operation still faces difficulties and challenges, Chinese President Xi Jinping wrote in an article.

At the same time, the Chinese economy is underpinned by a stable foundation, abundant strengths, strong resilience and vast potential, and the supporting conditions and fundamental trend for long–term growth have not changed, according to the article, published on Qiushi Journal on Saturday.

Navigating these dual realities — balancing external risks with domestic opportunities — lies at the heart of China's 2025 strategy, especially as this year not only marks the culmination of the 14th Five–Year Plan (2021–2025) — a strategic blueprint that has guided the nation's efforts to achieve high–quality development, advance technological innovation, and foster sustainable economic reforms — but also sets the stage for the launch of the 15th Five–Year Plan (2026–2030), which will shape China's next phase of growth amid evolving global and domestic challenges.

Harmonizing market efficiency with proactive governance
In his article, Xi stressed that it is essential to coordinate the relationship between an efficient market and a well–functioning government, and the government must act decisively when necessary while also knowing when to refrain from intervention.

China's recent policy moves have exemplified this focus. In January, the National Development and Reform Commission (NDRC), China's top economic planner, released a guideline for building a unified national market, aiming to encourage all localities and government departments to accelerate their integration into the unified national market and actively support its development.

This guideline is expected to help lower market transaction costs, create a favorable market environment for technological innovation and business development, and strengthen competitive advantages.

Such structural reforms align with a growing consensus among economists that China's economic evolution hinges on fostering innovation and productivity over short–term fixes — a shift exemplified by the unified market initiative's focus on systemic efficiency.

“Deregulating key industries, encouraging private sector participation and attracting foreign investment in high–tech and green energy sectors will be instrumental in driving this transformation,” Matteo Giovannini, a finance professional at the Industrial and Commercial Bank of China and a Non–Resident Associate Fellow at the Center for China and Globalization, wrote in an op–ed published on CGTN. 

“Restoring confidence among private enterprises will also be critical, as these firms are key engines of job creation, technological advancement and economic dynamism.”

'Resilient and adaptable'
Xi's article on Qiushi also addressed other key points, including the relationship between total supply and demand to ensure smooth economic circulation, which to a large extent reflected the main tasks outlined by the tone–setting Central Economic Work Conference held in December last year.

Those tasks, apart from driving a dramatic rebound for the Chinese economy, also laid a positive foundation for its 2025 trajectory. Experts have pointed out the adaptability and resilience rooted in China's economy, expressing optimism following the Central Economic Work Conference.

Amid current challenges facing the global economy, it is rare for an economy like China's, which is already in a stage of high–quality development, to sustain an annual GDP growth that meets the target, said Michael Borchmann, former head of the European and International Affairs Department of the federal German state of Hesse.

Official data shows China's GDP in 2024 increased by 5 percent from 2023, topping 134.9 trillion yuan ($18.77 trillion).

“This not only shows that the Chinese economy is extremely resilient and adaptable, but also reflects the steady expansion of domestic demand and the results of industrial transformation.” he said.

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